Le compte à rebours pour le mondial brésilien de juin 2014 est véritablement lancé. Toutes les sélections qualifiées savent désormais à quoi s’en tenir et comment faire pour être bien présentes au rendez vous du pays du football. La Côte d’Ivoire n’est pas en reste. Car Sabri Lamouchi et ses garçons seront bien des cinq ambassadeurs qui porteront la couleur de l’Afrique. Aujourd’hui, analysons ensemble les premiers adversaires du sélectionneur ivoirien. En effet, plus que le schéma tactique et le choix des joueurs, ce sont surtout les alter egos de Sabri Lamouchi sur les trois bancs qui méritent notre attention. Ses vis-à vis qui lui tendront bien de pièges qu’il devra déjouer.
C’est connu depuis le vendredi dernier. La Côte d’Ivoire sait avec qui elle luttera pour passer le premier tour du mondial au pays de Pelé. Il s’agit de la Grèce, du Japon et de la Colombie qui forment avec les pachydermes cette poule C qui semble à tout point de vue très équilibrée. Avant de décortiquer le jeu des ces trois nations, arrêtons nous d’abord sur les techniciens qui les dirigent.
Alberto Zaccheroni, l’Italien du Japon
Né le 1er avril 1953 à Meldola (province de Forlì-Cesena, Émilie-Romagne), Alberto Zaccheroni, entraîneur Italie, est le sélectionneur du Japon depuis avril 2010. Mais l’homme, avant d’être porté à la tête d’une sélection nationale, a trainé sa bosse dans le championnat italien où il a occupé le banc du Milan AC, l'Inter Milan, la Lazio Rome et la Juventus, Udinese. Limogé pour mauvais résultats en janvier 2010 à la Juve, l’Italien retombe sur ses pieds au pays du soleil levant. Très vite, il s’impose à la tête de la sélection nipponne et enregistre de bons résultats. Il remporte la Coupe d'Asie des nations de football 2011 avec le Japon en battant en finale l'Australie sur le score de 1 à 0 dans la prolongation. Il permet ainsi au Japon de remporter son quatrième titre. Aujourd’hui, c’est ce technicien, trempé à la sauce italienne et qui traine une bonne dose d’expérience qui se présentera avec le Japon face à Sabri Lamouchi et la Côte d’Ivoire le samedi 14 juin à Recife.
José Pekerman, le plus capé
Si la compétition se jouait à l’expérience et au vécu, José Nestor Pekerman et la Colombie seraient sans adversaire dans ce groupe C. en effet, cet Argentin bon teint est un vieux de la vielle car il traine sa bosse sur les stades depuis un bon moment. Né le 03 septembre 1949 à Villa Dominguez (Argentine), cet ancien milieu de terrain d’Argentinos et d’Independiente s’est vite converti au métier d’entraineur. Il commence par le petit niveau avec les jeunes jusqu’à l’équipe nationale junior d’Argentine (U20) qu’il entrainera de 1994 à 2001. Avec elle, il remporta trois fois la Coupe du monde de football des moins de 20 ans en 1995 (Qatar), 1997 (Malaisie) et 2001 (Argentine), et deux fois le Championnat d'Amérique du Sud des moins de 20 ans en 1997 et en 1999.
Fort de ce succès, il est bombardé en 2004 à la tête de l’Albiceleste. Il y restera deux ans avant de démissionner après le ? de finale perdu face à l’Allemagne au mondial 2006. Il retourne à la tête des clubs jusqu’en 2012, date à laquelle la Colombie lui fait appel pour relancer une équipe qui veut se donner de grandes ambitions d’abord en Amérique du Sud mais aussi au monde. Cet entraineur, pétri de talent et d’expérience, est le deuxième adversaire de Sabri Lamouchi dans ce mondial. Les deux hommes se croiseront le jeudi 19 juin à Brasilia.
Fernandos Santos, le “dieu” Grec
Grand connaisseur du football européen, Fernandos Santos, né le 10 octobre 1954, est un ancien joueur de football portugais désormais reconverti en entraîneur. Si son passé de joueur ne laisse pas de souvenirs indélébiles, sa carrière d’entraineur prouve qu’il a quelque chose dans le ventre. Comme entraineur il a eu le mérite d’entraineur les trois grands clubs du championnat portugais (FC Porto, Sporting et Benfica). Après quelques soucis au Portugal, il se relance en Grèce où il enlève le poste de sélectionneur national en juillet 2010. Partagé entre un jeu physique et technique, Fernandos Santos est aujourd’hui l’espoir d’une Grèce qui après avoir surpris l’Europe en 2004 veut aujourd’hui conquérir le monde avec leur « nouveau dieu », Fernandos Santos. Il sera en face de Sabri Lamouchi pour le troisième match de poule le mardi 24 juin à Fortaleza.
Lamouchi sait désormais à quels techniciens il fera face. Trois vieux briscards avec des styles différents, une bonne dose d’expériences et du vécu. N’empêche ! Le patron du banc des Eléphants a déjà démontré qu’il peut terrasser plus grand que lui. Il lui suffira de bien étudier ses premiers adversaires qui ne sont en réalités par sur le terrain, mais sur l’autre banc. Sa mission commence déjà.
Koné Lassiné
C’est connu depuis le vendredi dernier. La Côte d’Ivoire sait avec qui elle luttera pour passer le premier tour du mondial au pays de Pelé. Il s’agit de la Grèce, du Japon et de la Colombie qui forment avec les pachydermes cette poule C qui semble à tout point de vue très équilibrée. Avant de décortiquer le jeu des ces trois nations, arrêtons nous d’abord sur les techniciens qui les dirigent.
Alberto Zaccheroni, l’Italien du Japon
Né le 1er avril 1953 à Meldola (province de Forlì-Cesena, Émilie-Romagne), Alberto Zaccheroni, entraîneur Italie, est le sélectionneur du Japon depuis avril 2010. Mais l’homme, avant d’être porté à la tête d’une sélection nationale, a trainé sa bosse dans le championnat italien où il a occupé le banc du Milan AC, l'Inter Milan, la Lazio Rome et la Juventus, Udinese. Limogé pour mauvais résultats en janvier 2010 à la Juve, l’Italien retombe sur ses pieds au pays du soleil levant. Très vite, il s’impose à la tête de la sélection nipponne et enregistre de bons résultats. Il remporte la Coupe d'Asie des nations de football 2011 avec le Japon en battant en finale l'Australie sur le score de 1 à 0 dans la prolongation. Il permet ainsi au Japon de remporter son quatrième titre. Aujourd’hui, c’est ce technicien, trempé à la sauce italienne et qui traine une bonne dose d’expérience qui se présentera avec le Japon face à Sabri Lamouchi et la Côte d’Ivoire le samedi 14 juin à Recife.
José Pekerman, le plus capé
Si la compétition se jouait à l’expérience et au vécu, José Nestor Pekerman et la Colombie seraient sans adversaire dans ce groupe C. en effet, cet Argentin bon teint est un vieux de la vielle car il traine sa bosse sur les stades depuis un bon moment. Né le 03 septembre 1949 à Villa Dominguez (Argentine), cet ancien milieu de terrain d’Argentinos et d’Independiente s’est vite converti au métier d’entraineur. Il commence par le petit niveau avec les jeunes jusqu’à l’équipe nationale junior d’Argentine (U20) qu’il entrainera de 1994 à 2001. Avec elle, il remporta trois fois la Coupe du monde de football des moins de 20 ans en 1995 (Qatar), 1997 (Malaisie) et 2001 (Argentine), et deux fois le Championnat d'Amérique du Sud des moins de 20 ans en 1997 et en 1999.
Fort de ce succès, il est bombardé en 2004 à la tête de l’Albiceleste. Il y restera deux ans avant de démissionner après le ? de finale perdu face à l’Allemagne au mondial 2006. Il retourne à la tête des clubs jusqu’en 2012, date à laquelle la Colombie lui fait appel pour relancer une équipe qui veut se donner de grandes ambitions d’abord en Amérique du Sud mais aussi au monde. Cet entraineur, pétri de talent et d’expérience, est le deuxième adversaire de Sabri Lamouchi dans ce mondial. Les deux hommes se croiseront le jeudi 19 juin à Brasilia.
Fernandos Santos, le “dieu” Grec
Grand connaisseur du football européen, Fernandos Santos, né le 10 octobre 1954, est un ancien joueur de football portugais désormais reconverti en entraîneur. Si son passé de joueur ne laisse pas de souvenirs indélébiles, sa carrière d’entraineur prouve qu’il a quelque chose dans le ventre. Comme entraineur il a eu le mérite d’entraineur les trois grands clubs du championnat portugais (FC Porto, Sporting et Benfica). Après quelques soucis au Portugal, il se relance en Grèce où il enlève le poste de sélectionneur national en juillet 2010. Partagé entre un jeu physique et technique, Fernandos Santos est aujourd’hui l’espoir d’une Grèce qui après avoir surpris l’Europe en 2004 veut aujourd’hui conquérir le monde avec leur « nouveau dieu », Fernandos Santos. Il sera en face de Sabri Lamouchi pour le troisième match de poule le mardi 24 juin à Fortaleza.
Lamouchi sait désormais à quels techniciens il fera face. Trois vieux briscards avec des styles différents, une bonne dose d’expériences et du vécu. N’empêche ! Le patron du banc des Eléphants a déjà démontré qu’il peut terrasser plus grand que lui. Il lui suffira de bien étudier ses premiers adversaires qui ne sont en réalités par sur le terrain, mais sur l’autre banc. Sa mission commence déjà.
Koné Lassiné