Pour Matt Wells de Human Rights Watch, cela passe par la prolongation du mandat de la Cellule spéciale chargée d'enquêter sur les atrocités de la crise de 2010-2011.
En novembre 2010, l’élection présidentielle ivoirienne contestée a provoqué six mois de violence pendant lesquels au moins 3.000 personnes ont été tuées. Lorsque la crise s’est achevée en mai 2011, le président Alassane Ouattara a promis de faire en sorte que justice soit faite pour les crimes odieux perpétrés par les forces des deux camps. En Côte d’Ivoire comme à l’étranger, le président Ouattara a été salué pour cet engagement qui devait permettre d’apaiser le dangereux clivage politique et ethnique dont il avait hérité. Ce mois-ci, le gouvernement ivoirien se trouve confronté à une... suite de l'article sur Slate Afrique
En novembre 2010, l’élection présidentielle ivoirienne contestée a provoqué six mois de violence pendant lesquels au moins 3.000 personnes ont été tuées. Lorsque la crise s’est achevée en mai 2011, le président Alassane Ouattara a promis de faire en sorte que justice soit faite pour les crimes odieux perpétrés par les forces des deux camps. En Côte d’Ivoire comme à l’étranger, le président Ouattara a été salué pour cet engagement qui devait permettre d’apaiser le dangereux clivage politique et ethnique dont il avait hérité. Ce mois-ci, le gouvernement ivoirien se trouve confronté à une... suite de l'article sur Slate Afrique