Le Président de l’Association de la Société Civile pour l’Eveil des Consciences (ASCEC), Théby Stanislas nourrit l’espoir de voir un jour l’Afrique débarrassée des coups d’Etat. Meurtri par la situation socio politique qui prévaut en Centrafrique, il crie son ras-le-bol et propose une esquisse de solutions pour mettre fin aux tentatives anti-démocratiques.
‘’Que chaque président africain mette la main à la poche’’
La situation actuelle n’est pas du tout reluisante et mérite que le monde entier en général et l’Afrique en particulier en tirent les leçons. L’Association de la Société Civile pour l’Eveil des Consciences (ASCEC), face à ces centaines de morts en moins d’une semaine suivis des milliers de déplacés, n’entend pas rester muette. Ainsi, l’ASCEC condamne avec la dernière énergie la situation de violences généralisées en Centrafrique et, qui est en train de conduire le pays vers une guerre religieuse, cela inéluctablement va occasionner encore et encore des pertes en vies humaines. Aussi, l’ASCEC voudrait s’interroger sur cette situation :
- Que serait-il arrivé à la Centrafrique si la grande France n’avait pas réagi ?
- Les africains auraient-ils assisté impuissants à l’avènement d’un schéma Rwandais ?
- Pourquoi l’Afrique attend-t-elle toujours de l’aide de l’extérieur ? Et pourtant nous disposons des grandes richesses. Quel paradoxe !
C’est pourquoi l’ASCEC voudrait féliciter la République française avec le Président François Hollande qui, s’est engagé à voler au secours des populations de la Centrafrique. Fortes du mandat de l'ONU pour intervenir en Centrafrique, des troupes françaises (1600 hommes) se sont déployées dans la capitale Bangui, pour essayer de rétablir la sécurité dans ce pays d'Afrique en proie au chaos. Leur mission prioritaire est de "désarmer toutes les milices et groupes armés qui terrorisent les populations. L’ASCEC salue l’engagement français à l’endroit des centrafricains qui contribuera à débarrasser du pays toutes sortes d’armes des mains des quidams. L’ASCEC rappelle que ce n’est pas la première action de la France. Elle a été présente en Côte d’Ivoire pour éviter une guerre civile ; au Mali pour lutter contre le terrorisme. A ce propos, l’ASCEC voudrait réitérer ses remerciements au président ivoirien Alassane Ouattara qui a pesé de tout son poids au sein de la CEDEAO pour sauver le Mali des mains des terroristes, et partant de toute la sous-région. Par ailleurs, l’ASCEC se félicite également de la décision du gouvernement français relative à la formation de plus de 20 000 soldats africains par an. Déclaration faite à l'occasion du sommet de l'Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique. Cependant l’ASCEC voudrait rappeler que ce projet avait été déjà pensé par son organisation. Qui a toujours souhaité que l’Afrique prenne entièrement en main son destin pour prévenir des conflits et assurer efficacement elle-même sa sécurité. Pour ce projet militaire, l’ASCEC voudrait exhorter les présidents africains depuis la CEDEAO jusqu’à l’UA à se l’approprier en jouant les premiers rôles dans le financement dudit projet. L’ASCEC invite donc les chefs d’Etat africains à mettre la main à la poche pour la mise sur pied de cette force militaire qui freinera les velléités de coup d’Etat. Elle croit que l’Afrique ne doit plus tendre la main si, elle s’organise sérieusement. A ce sujet, l’ASCEC souhaite qu’en vue de mettre fin aux coups d’Etats à répétitions en Afrique, que des lois soient prises pour dissuader les éventuels auteurs de raccourcis politiques qui provoquent toujours des milliers et des milliers de morts. De sorte que celui qui est à l’origine d’un coup d’Etat, soit évincé dans les 48 heures et, qu’il soit poursuivi devant les juridictions compétentes. L’ASCEC reste convaincu qu’en agissant ainsi, l’Afrique pourra tourner le dos aux coups d’Etat au profit de la tenue des élections démocratiques et transparentes. L’ASCEC voudrait par ailleurs inviter les jeunes centrafricains à quitter les champs de guerre et à déposer les armes pour penser à l’avenir de la nation. L’ASCEC rappelle à la jeunesse toute entière qu’il ne sert à rien de mourir pour les politiques alors que ces derniers s’enrichissent. Enfin, l’ASCEC réitère ses remerciements à la France et à son Président Hollande qui s’est engagé résolument à mettre fin au désordre de tout genre Afrique.
Théby Stanislas,
Président de l’ASCEC
‘’Que chaque président africain mette la main à la poche’’
La situation actuelle n’est pas du tout reluisante et mérite que le monde entier en général et l’Afrique en particulier en tirent les leçons. L’Association de la Société Civile pour l’Eveil des Consciences (ASCEC), face à ces centaines de morts en moins d’une semaine suivis des milliers de déplacés, n’entend pas rester muette. Ainsi, l’ASCEC condamne avec la dernière énergie la situation de violences généralisées en Centrafrique et, qui est en train de conduire le pays vers une guerre religieuse, cela inéluctablement va occasionner encore et encore des pertes en vies humaines. Aussi, l’ASCEC voudrait s’interroger sur cette situation :
- Que serait-il arrivé à la Centrafrique si la grande France n’avait pas réagi ?
- Les africains auraient-ils assisté impuissants à l’avènement d’un schéma Rwandais ?
- Pourquoi l’Afrique attend-t-elle toujours de l’aide de l’extérieur ? Et pourtant nous disposons des grandes richesses. Quel paradoxe !
C’est pourquoi l’ASCEC voudrait féliciter la République française avec le Président François Hollande qui, s’est engagé à voler au secours des populations de la Centrafrique. Fortes du mandat de l'ONU pour intervenir en Centrafrique, des troupes françaises (1600 hommes) se sont déployées dans la capitale Bangui, pour essayer de rétablir la sécurité dans ce pays d'Afrique en proie au chaos. Leur mission prioritaire est de "désarmer toutes les milices et groupes armés qui terrorisent les populations. L’ASCEC salue l’engagement français à l’endroit des centrafricains qui contribuera à débarrasser du pays toutes sortes d’armes des mains des quidams. L’ASCEC rappelle que ce n’est pas la première action de la France. Elle a été présente en Côte d’Ivoire pour éviter une guerre civile ; au Mali pour lutter contre le terrorisme. A ce propos, l’ASCEC voudrait réitérer ses remerciements au président ivoirien Alassane Ouattara qui a pesé de tout son poids au sein de la CEDEAO pour sauver le Mali des mains des terroristes, et partant de toute la sous-région. Par ailleurs, l’ASCEC se félicite également de la décision du gouvernement français relative à la formation de plus de 20 000 soldats africains par an. Déclaration faite à l'occasion du sommet de l'Elysée pour la paix et la sécurité en Afrique. Cependant l’ASCEC voudrait rappeler que ce projet avait été déjà pensé par son organisation. Qui a toujours souhaité que l’Afrique prenne entièrement en main son destin pour prévenir des conflits et assurer efficacement elle-même sa sécurité. Pour ce projet militaire, l’ASCEC voudrait exhorter les présidents africains depuis la CEDEAO jusqu’à l’UA à se l’approprier en jouant les premiers rôles dans le financement dudit projet. L’ASCEC invite donc les chefs d’Etat africains à mettre la main à la poche pour la mise sur pied de cette force militaire qui freinera les velléités de coup d’Etat. Elle croit que l’Afrique ne doit plus tendre la main si, elle s’organise sérieusement. A ce sujet, l’ASCEC souhaite qu’en vue de mettre fin aux coups d’Etats à répétitions en Afrique, que des lois soient prises pour dissuader les éventuels auteurs de raccourcis politiques qui provoquent toujours des milliers et des milliers de morts. De sorte que celui qui est à l’origine d’un coup d’Etat, soit évincé dans les 48 heures et, qu’il soit poursuivi devant les juridictions compétentes. L’ASCEC reste convaincu qu’en agissant ainsi, l’Afrique pourra tourner le dos aux coups d’Etat au profit de la tenue des élections démocratiques et transparentes. L’ASCEC voudrait par ailleurs inviter les jeunes centrafricains à quitter les champs de guerre et à déposer les armes pour penser à l’avenir de la nation. L’ASCEC rappelle à la jeunesse toute entière qu’il ne sert à rien de mourir pour les politiques alors que ces derniers s’enrichissent. Enfin, l’ASCEC réitère ses remerciements à la France et à son Président Hollande qui s’est engagé résolument à mettre fin au désordre de tout genre Afrique.
Théby Stanislas,
Président de l’ASCEC