Le ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko a réitéré jeudi, au Front populaire ivoirien (FPI, opposition) l’engagement du gouvernement à garantir « un retour sécurisé des exilés et refugiés ».
A la demande du FPI, le ministre de l'Intérieur et de la sécurité a discuté des modalités du retour de ces exilés et refugiés avec la direction du cette formation politique fondée par Laurent Gbagbo.
Il s'agit entre autre de la restitution des biens de ces personnes qui sont occupés et leur sécurité, et la levée des mandats d'arrêts lancés par la justice nationale pour ceux qui en font l'objet.
L'ancien ministre de la défense, Michel Amani N'guessan, qui s'exprimait au nom de la délégation du FPI, conduite par son 3ème vice-président, Sylvain Miaka Oureto , a marqué sa confiance et son assurance quant à la sincérité de cette promesse du gouvernement.
Il appartient au FPI de « coordonner ce retour » et le gouvernement prendra « les dispositions » adéquates pour que « ce retour se fasse dans la paix », a dit Hamed Bakayoko. A leur retour, « ils ne seront pas inquiété comme bon nombre d'entre eux », a-t-il assuré en substance.
« Nous irons leur rendre compte (…) et ceux qui veulent rentrer rentreront » a promis, Amani N'guessan, en retour.
Au la fin de la crise postélectorale qu'a connue la Côte d'Ivoire entre novembre 2010 et avril 2011, des militants, sympathisants, et cadres du FPI se sont retrouvés en exil dans certains pays voisins, en Europe et dans d'autres pays par crainte de représailles.
La Justice ivoirienne a émis à l'encontre de plus d'une dizaine, des mandats d'arrêts dont certains ont été exécutés notamment le cas de l'ex-leader des jeunes patriotes pro-Gbagbo, Charles Blé Goudé, arrêté au Ghana voisin, et extradé le 17 janvier dernier à Abidjan.
Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara a encouragé la semaine dernière, le FPI à poursuivre les discussions avec le gouvernement pour aboutir à une « compréhension ».
JBK/ls/APA
A la demande du FPI, le ministre de l'Intérieur et de la sécurité a discuté des modalités du retour de ces exilés et refugiés avec la direction du cette formation politique fondée par Laurent Gbagbo.
Il s'agit entre autre de la restitution des biens de ces personnes qui sont occupés et leur sécurité, et la levée des mandats d'arrêts lancés par la justice nationale pour ceux qui en font l'objet.
L'ancien ministre de la défense, Michel Amani N'guessan, qui s'exprimait au nom de la délégation du FPI, conduite par son 3ème vice-président, Sylvain Miaka Oureto , a marqué sa confiance et son assurance quant à la sincérité de cette promesse du gouvernement.
Il appartient au FPI de « coordonner ce retour » et le gouvernement prendra « les dispositions » adéquates pour que « ce retour se fasse dans la paix », a dit Hamed Bakayoko. A leur retour, « ils ne seront pas inquiété comme bon nombre d'entre eux », a-t-il assuré en substance.
« Nous irons leur rendre compte (…) et ceux qui veulent rentrer rentreront » a promis, Amani N'guessan, en retour.
Au la fin de la crise postélectorale qu'a connue la Côte d'Ivoire entre novembre 2010 et avril 2011, des militants, sympathisants, et cadres du FPI se sont retrouvés en exil dans certains pays voisins, en Europe et dans d'autres pays par crainte de représailles.
La Justice ivoirienne a émis à l'encontre de plus d'une dizaine, des mandats d'arrêts dont certains ont été exécutés notamment le cas de l'ex-leader des jeunes patriotes pro-Gbagbo, Charles Blé Goudé, arrêté au Ghana voisin, et extradé le 17 janvier dernier à Abidjan.
Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara a encouragé la semaine dernière, le FPI à poursuivre les discussions avec le gouvernement pour aboutir à une « compréhension ».
JBK/ls/APA