Le gouvernement ivoirien, a annoncé jeudi, avoir découvert 800 000 comptes bancaires « dormants » contenant des avoirs évalués à 62 milliards de FCFA.
S'exprimant au terme d'un conseil des ministres, le porte parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, par ailleurs, ministre de la poste, des technologies de l'information et de la communication a indiqué que « 800 000 comptes dormants » ont été identifiés dans les banques ivoiriennes « pour des avoirs évalués à 62 milliards de FCFA ».
Il a également ajouté qu'un projet de loi a été adopté par le gouvernement pour le traitement de ces comptes dormants. L'existence de comptes dormants peut provenir de situations très diverses telles que le décès du client lorsque celui-ci n'a pas laissé à ses héritiers les informations nécessaires pour retrouver la banque dépositaire de ses actifs.
Il y a également, le fait que les titulaires de compte ne pensent pas systématiquement à informer leur banquier en cas de changement d'adresse ou l'oubli par le titulaire lui-même de l'existence d'un compte qu'il a ouvert des années auparavant.
Les hypothèses dans lesquelles une personne a ouvert un compte au nom d'une autre sans nécessairement l'en informer (cas d'un compte ouvert au nom d'un enfant mineur par ses grands-parents), sont également des sources de l'existence de comptes dormants.
LS/APA
S'exprimant au terme d'un conseil des ministres, le porte parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, par ailleurs, ministre de la poste, des technologies de l'information et de la communication a indiqué que « 800 000 comptes dormants » ont été identifiés dans les banques ivoiriennes « pour des avoirs évalués à 62 milliards de FCFA ».
Il a également ajouté qu'un projet de loi a été adopté par le gouvernement pour le traitement de ces comptes dormants. L'existence de comptes dormants peut provenir de situations très diverses telles que le décès du client lorsque celui-ci n'a pas laissé à ses héritiers les informations nécessaires pour retrouver la banque dépositaire de ses actifs.
Il y a également, le fait que les titulaires de compte ne pensent pas systématiquement à informer leur banquier en cas de changement d'adresse ou l'oubli par le titulaire lui-même de l'existence d'un compte qu'il a ouvert des années auparavant.
Les hypothèses dans lesquelles une personne a ouvert un compte au nom d'une autre sans nécessairement l'en informer (cas d'un compte ouvert au nom d'un enfant mineur par ses grands-parents), sont également des sources de l'existence de comptes dormants.
LS/APA