Ivoiriennes, Ivoiriens,
Chers Compatriotes,
Le vendredi 20 Décembre 2013, la communauté mondiale célèbre la Journée Internationale de la Solidarité Humaine, instituée en Décembre 2005, par la Résolution 60/209 des Nations Unies, en vue de promouvoir une culture de solidarité, de partage et de lutter contre la pauvreté.
La commémoration de cette journée, qui milite en faveur de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), afin que les générations à venir reçoivent en héritage la paix, la prospérité et le progrès durable, trouve un parfait échos dans le Programme de SEM Président de la République, notamment à travers la mise en œuvre des instruments de gouvernance internationale, adoptés par notre pays.
A cet effet, en plus du consensus général autour du Plan National de Développement (PND), cadre de référence de l’ensemble des interventions publiques, la dernière revue annuelle du Plan Cadre des Nations Unies pour l’aide au Développement (UNDAF), a relevé que notre pays a fait des progrès significatifs.
Je voudrais saluer ici toutes les Agences du Système des Nations Unies, les organisations nationales et internationales et les partenaires multilatéraux, qui chaque jour pratiquent et mettent en œuvre, les valeurs essentielles de disponibilité, de générosité, de solidarité et de partage, indispensables à l’humanité.
Chers Compatriotes,
Depuis la fin de la crise, le Gouvernement a initié de vigoureuses actions de solidarité, qui ont positivement impacté les indicateurs de développement social. Au titre de ces actions, nous pouvons rappeler la gratuité totale, puis ciblée des soins de santé ; la distribution de kits scolaires dans les écoles publiques primaires ; l’instauration des cantines scolaires ; la construction de logements sociaux ; la création du FAFCI et la mise à disposition de fonds d’appui aux activités économiques des femmes ; la réhabilitation des infrastructures sociales de base (centres de santé, écoles, pompes hydrauliques); l’assistance aux familles et aux populations sinistrées ou en détresse ; la prise en charge médicale totale des personnes victimes d’accidents dramatiques.
Si le Gouvernement peut se féliciter des importants efforts consentis, il n’en demeure pas moins que les défis à relever pour combler les besoins sociaux des couches les plus vulnérables restent malheureusement encore considérables, en raison de la longue crise qu’a connue le pays avec ses nouvelles formes de précarités sociales, telles que les victimes de guerre.
En novembre dernier, la célébration de la Journée Nationale de la Solidarité a clairement montré que cette question reste au cœur des préoccupations du Gouvernement, qui y travaille quotidiennement, afin de définir des mécanismes appropriés et efficaces.
Ivoiriennes, Ivoiriens
Chers Compatriotes,
La solidarité mondiale, et même nationale, ne peut être une simple question de choix. Elle s’impose à nous et ne dépend que de chacun d’entre nous. Elle n’est pas non plus, seulement le fait de l’Etat ou du Gouvernement. Elle émane de la volonté et de l’action solidaire des individus, pour se muer progressivement en une force irrésistible, avec laquelle tout devient possible.
C’est pourquoi, aux côté de l’Etat, je vous engage à la solidarité, au partage et à la générosité les uns envers les autres. En tant que valeur intrinsèque de nos traditions africaines, la solidarité doit prendre pied en nous, au moment où la Côte d’Ivoire renoue avec la croissance et laisse entrevoir des perspectives prometteuses pour l’avenir.
Aidons notre pays et cultivons la fraternité et le partage, l’union et la solidarité, la réconciliation et la paix. C’est ainsi que forts parce que rassemblés dans une dynamique de la solidarité mondiale, nous prendrons notre place dans le concert des nations.
Fiers ivoiriens,
Le devoir nous commande de garantir aux générations futures, une vie meilleure, moderne, paisible et prospère.
Vive la solidarité pour un monde plus juste et plus humain ;
Pour que vive la Côte d’Ivoire, rassemblée et forte.
Je vous remercie.
Chers Compatriotes,
Le vendredi 20 Décembre 2013, la communauté mondiale célèbre la Journée Internationale de la Solidarité Humaine, instituée en Décembre 2005, par la Résolution 60/209 des Nations Unies, en vue de promouvoir une culture de solidarité, de partage et de lutter contre la pauvreté.
La commémoration de cette journée, qui milite en faveur de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), afin que les générations à venir reçoivent en héritage la paix, la prospérité et le progrès durable, trouve un parfait échos dans le Programme de SEM Président de la République, notamment à travers la mise en œuvre des instruments de gouvernance internationale, adoptés par notre pays.
A cet effet, en plus du consensus général autour du Plan National de Développement (PND), cadre de référence de l’ensemble des interventions publiques, la dernière revue annuelle du Plan Cadre des Nations Unies pour l’aide au Développement (UNDAF), a relevé que notre pays a fait des progrès significatifs.
Je voudrais saluer ici toutes les Agences du Système des Nations Unies, les organisations nationales et internationales et les partenaires multilatéraux, qui chaque jour pratiquent et mettent en œuvre, les valeurs essentielles de disponibilité, de générosité, de solidarité et de partage, indispensables à l’humanité.
Chers Compatriotes,
Depuis la fin de la crise, le Gouvernement a initié de vigoureuses actions de solidarité, qui ont positivement impacté les indicateurs de développement social. Au titre de ces actions, nous pouvons rappeler la gratuité totale, puis ciblée des soins de santé ; la distribution de kits scolaires dans les écoles publiques primaires ; l’instauration des cantines scolaires ; la construction de logements sociaux ; la création du FAFCI et la mise à disposition de fonds d’appui aux activités économiques des femmes ; la réhabilitation des infrastructures sociales de base (centres de santé, écoles, pompes hydrauliques); l’assistance aux familles et aux populations sinistrées ou en détresse ; la prise en charge médicale totale des personnes victimes d’accidents dramatiques.
Si le Gouvernement peut se féliciter des importants efforts consentis, il n’en demeure pas moins que les défis à relever pour combler les besoins sociaux des couches les plus vulnérables restent malheureusement encore considérables, en raison de la longue crise qu’a connue le pays avec ses nouvelles formes de précarités sociales, telles que les victimes de guerre.
En novembre dernier, la célébration de la Journée Nationale de la Solidarité a clairement montré que cette question reste au cœur des préoccupations du Gouvernement, qui y travaille quotidiennement, afin de définir des mécanismes appropriés et efficaces.
Ivoiriennes, Ivoiriens
Chers Compatriotes,
La solidarité mondiale, et même nationale, ne peut être une simple question de choix. Elle s’impose à nous et ne dépend que de chacun d’entre nous. Elle n’est pas non plus, seulement le fait de l’Etat ou du Gouvernement. Elle émane de la volonté et de l’action solidaire des individus, pour se muer progressivement en une force irrésistible, avec laquelle tout devient possible.
C’est pourquoi, aux côté de l’Etat, je vous engage à la solidarité, au partage et à la générosité les uns envers les autres. En tant que valeur intrinsèque de nos traditions africaines, la solidarité doit prendre pied en nous, au moment où la Côte d’Ivoire renoue avec la croissance et laisse entrevoir des perspectives prometteuses pour l’avenir.
Aidons notre pays et cultivons la fraternité et le partage, l’union et la solidarité, la réconciliation et la paix. C’est ainsi que forts parce que rassemblés dans une dynamique de la solidarité mondiale, nous prendrons notre place dans le concert des nations.
Fiers ivoiriens,
Le devoir nous commande de garantir aux générations futures, une vie meilleure, moderne, paisible et prospère.
Vive la solidarité pour un monde plus juste et plus humain ;
Pour que vive la Côte d’Ivoire, rassemblée et forte.
Je vous remercie.
