Le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) s’est engagé dans une dynamique de valorisation de son expertise tant sur l’échiquier sous régional que continental. En effet, le CNRA a reçu plusieurs délégations venues de plusieurs pays africains. Il s’agit, entre autres, du Congo-Brazzaville, de la Guinée Equatoriale,… Toutes ces délégations, en quête de savoir-faire, ont trouvé au CNRA un partenaire stratégique capable de les accompagner dans leurs projets de développement scientifique et agricole.
Toujours dans cette dynamique, le directeur général, Dr Yté Wongbé a conduit une délégation qui s’est rendue à Monrovia, au Libéria, du 16 au 19 Décembre 2013 pour la signature d’un Accord-cadre entre l’Institut Central de la Recherche Agricole (CARI) et le CNRA. La cérémonie de signature a eu lieu dans la salle de conférence du ministère de l’Agriculture, en présence de Madame la Ministre, Dr Florence A. Chenoweth.
Elle s’est exprimée sur le choix de la Côte d’Ivoire, en occurrence, le CNRA comme partenaire au développement de la recherche et de l’agriculture du Libéria. En effet, « les années de guerre civile ont anéanties les acquis du pays. Ainsi pour la reconstruction, en général, et pour la relance de la recherche agricole, en particulier, il nous fallait compter sur des partenaires proches et fiables avec qui nous aurions des similitudes écologiques. Dès lors, le choix de la Côte d’Ivoire s’est fait tout naturellement » a-t- elle indiqué.
Dr Marshall Aaron, Directeur général du CARI et son homologue du CNRA ont signé cette convention qui établi désormais le partenariat entre les deux institutions qu’ils dirigent. Dr Yté a dit sa satisfaction de voir le CNRA apporter son appui à un pays frère et à souligner que cette convention représente « une bonne manière d’exporter la notoriété de sa structure au de-là des frontières ivoiriennes ».
Des axes de collaborations scientifiques ont été établis. Ils concernent aussi bien les cultures pérennes que les cultures vivrières. Il s’agit, précisément, de transférer et d’adapter certaines technologies générées par la CNRA. Cela inclus les bonnes pratiques agricoles, la lutte contre les parasites, la biotechnologie, les semences la culture des tissus,... Les spéculations concernées par ces axes sont le palmier à huile, le cocotier, le riz, la banane plantain, le manioc, le café.
Il faut noter que cette convention prévoit aussi la formation de jeunes chercheurs libériens par le CNRA.
Une délégation du ministère de l’agriculture se rendra, très prochainement en Côte d’Ivoire pour visiter les stations du CNRA.
Service communication
Toujours dans cette dynamique, le directeur général, Dr Yté Wongbé a conduit une délégation qui s’est rendue à Monrovia, au Libéria, du 16 au 19 Décembre 2013 pour la signature d’un Accord-cadre entre l’Institut Central de la Recherche Agricole (CARI) et le CNRA. La cérémonie de signature a eu lieu dans la salle de conférence du ministère de l’Agriculture, en présence de Madame la Ministre, Dr Florence A. Chenoweth.
Elle s’est exprimée sur le choix de la Côte d’Ivoire, en occurrence, le CNRA comme partenaire au développement de la recherche et de l’agriculture du Libéria. En effet, « les années de guerre civile ont anéanties les acquis du pays. Ainsi pour la reconstruction, en général, et pour la relance de la recherche agricole, en particulier, il nous fallait compter sur des partenaires proches et fiables avec qui nous aurions des similitudes écologiques. Dès lors, le choix de la Côte d’Ivoire s’est fait tout naturellement » a-t- elle indiqué.
Dr Marshall Aaron, Directeur général du CARI et son homologue du CNRA ont signé cette convention qui établi désormais le partenariat entre les deux institutions qu’ils dirigent. Dr Yté a dit sa satisfaction de voir le CNRA apporter son appui à un pays frère et à souligner que cette convention représente « une bonne manière d’exporter la notoriété de sa structure au de-là des frontières ivoiriennes ».
Des axes de collaborations scientifiques ont été établis. Ils concernent aussi bien les cultures pérennes que les cultures vivrières. Il s’agit, précisément, de transférer et d’adapter certaines technologies générées par la CNRA. Cela inclus les bonnes pratiques agricoles, la lutte contre les parasites, la biotechnologie, les semences la culture des tissus,... Les spéculations concernées par ces axes sont le palmier à huile, le cocotier, le riz, la banane plantain, le manioc, le café.
Il faut noter que cette convention prévoit aussi la formation de jeunes chercheurs libériens par le CNRA.
Une délégation du ministère de l’agriculture se rendra, très prochainement en Côte d’Ivoire pour visiter les stations du CNRA.
Service communication