Le deuxième contingent, fort de 134 Ivoiriens rapatriés de Bangui, en République Centrafrique (RCA), est arrivé, jeudi en fin de soirée, à l’Aéroport international Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët, au Sud d’Abidjan, où ils ont été accueillis par le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly.
Une source proche du ministère de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur, a déclaré vendredi à APA que c'est à bord d'un Airbus A 319 de la flotte d'Air Côte d'Ivoire, affrété par l'Etat ivoirien que les 134 Ivoiriens, de tout sexe et âge, fuyant les violences en RCA, ont regagné, soulagés, la capitale économique ivoirienne, contrairement à 25 autres « recalés » du fait de la capacité « limitée » de l'avion de la compagnie aérienne nationale.
Ces derniers dont le sort sera soumis au Chef de l'Etat, selon le ministre Ally Coulibaly, sont retranchés dans le camp d'accueil de Binuka, contigu à l'aéroport de Bangui et sécurisé par les soldats français de l'opération « Sangaris » en Centrafrique.
Le 30 décembre dernier, un premier groupe de 123 personnes était rentré au bercail grâce à la sollicitude du Président Alassane Ouattara qui avait affrété le même avion pour leur rapatriement.
Le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), s'est déclaré alarmé face à la détérioration de la sécurité en République centrafricaine et a fait part de ses préoccupations sur la sécurité des civils pris au piège dans les derniers combats.
Selon la Croix-Rouge, les tueries intercommunautaires ont fait un millier de morts à Bangui, la capitale centrafricaine depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française à travers l'opération « Sangaris ».
Ces violences meurtrières sont liées aux représailles entre miliciens anti-balaka (à majorité chrétienne) et ex-rebelles de la Seleka (à majorité musulmane).
Une source proche du ministère de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur, a déclaré vendredi à APA que c'est à bord d'un Airbus A 319 de la flotte d'Air Côte d'Ivoire, affrété par l'Etat ivoirien que les 134 Ivoiriens, de tout sexe et âge, fuyant les violences en RCA, ont regagné, soulagés, la capitale économique ivoirienne, contrairement à 25 autres « recalés » du fait de la capacité « limitée » de l'avion de la compagnie aérienne nationale.
Ces derniers dont le sort sera soumis au Chef de l'Etat, selon le ministre Ally Coulibaly, sont retranchés dans le camp d'accueil de Binuka, contigu à l'aéroport de Bangui et sécurisé par les soldats français de l'opération « Sangaris » en Centrafrique.
Le 30 décembre dernier, un premier groupe de 123 personnes était rentré au bercail grâce à la sollicitude du Président Alassane Ouattara qui avait affrété le même avion pour leur rapatriement.
Le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), s'est déclaré alarmé face à la détérioration de la sécurité en République centrafricaine et a fait part de ses préoccupations sur la sécurité des civils pris au piège dans les derniers combats.
Selon la Croix-Rouge, les tueries intercommunautaires ont fait un millier de morts à Bangui, la capitale centrafricaine depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française à travers l'opération « Sangaris ».
Ces violences meurtrières sont liées aux représailles entre miliciens anti-balaka (à majorité chrétienne) et ex-rebelles de la Seleka (à majorité musulmane).