La Côte d’Ivoire abrite depuis, hier lundi, un séminaire régional sur la surveillance des groupes bancaires et leurs filiales. Il est organisé par le Centre régional d’assistance technique du FMI de l’Afrique de l’Ouest (Afritac de l’Ouest).
La surveillance des groupes bancaires transfrontaliers est un enjeu de taille pour les pays de la sous-région. C’est dans ce cadre que se tient depuis hier, lundi, un séminaire régional ayant pour thème, ‘’la surveillance des groupes bancaires et de leurs filiales. Ces travaux auxquels prennent part une centaine de participants, prendront fin le 17 janvier prochain à Abidjan. Ce séminaire a pour but de donner aux participants, les éléments clés de la surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et leurs filiales. Notamment sur les enjeux en matière de supervision des groupes bancaires transfrontaliers, la nécessité d’une supervision sur la base consolidée et d’un dialogue entre les superviseurs des pays dans lesquels sont focalisées les entités d’un même groupe. Le séminaire vise également à familiariser les participants avec les particularités de la gestion des groupes bancaires transfrontaliers en cas de crise. Coulibaly Adama, représentant Mme le ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances a précisé que la Côte d’Ivoire accueille sur son territoire les sociétés, têtes de groupes bancaires ou mixtes. Ainsi, la surveillance des groupes nécessite une attention particulière des pays de la région, compte tenu du poids des filiales de groupes internationaux ou panafricains dans les systèmes bancaires nationaux. Ainsi, le dialogue, la coopération et la concertation entre superviseurs constituent des facteurs clefs pour une bonne surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et pour contribuer à la stabilité financière aux niveaux nationaux, régionaux et internationaux. Il a mis en relief la récente crise internationale qui a montré les risques de propagations transfrontaliers d’une banque en difficulté. «En tant que pays hôte de groupes bancaires, la Côte d’Ivoire doit veiller à ce que les groupes appliquent les meilleures pratiques en matière de gouvernance et de contrôle interne», a-t-il promis. A sa suite, le Directeur général de l’Afritac de l’Ouest, Jean Le Dem a signifié que les systèmes bancaires des pays de la zone UEMOA, de la Guinée et de la Mauritanie se caractérisent par la très forte présence de groupes bancaires panafricains et mondiaux. De même, a-t-il ajouté, 22 groupes bancaires étaient présents à la fin 2012 dans la zone Uemoa. Raison pour laquelle, il souhaite que les autorités adoptent les dernières pratiques internationales. Car, selon lui, la crise financière internationale a montré la place particulière des groupes transfrontaliers en tant que vecteurs de diffusions. Lehman Brothers, Fortis, Royal Bank of Scotland sont autant d’exemples dont leur chute ont eu des conséquences très défavorables sur l’ensemble des places financières. Les causes des difficultés à l’intérieur des groupes bancaires sont multiples. L’on peut relever, entre autres, les relations financières étroites entre les banques appartenant à un même groupe, la perte de confiance de la part des marchés financiers et des investisseurs.....
La Côte d’Ivoire abrite depuis, hier lundi, un séminaire régional sur la surveillance des groupes bancaires et leurs filiales. Il est organisé par le Centre régional d’assistance technique du FMI de l’Afrique de l’Ouest (Afritac de l’Ouest).
La surveillance des groupes bancaires transfrontaliers est un enjeu de taille pour les pays de la sous-région. C’est dans ce cadre que se tient depuis hier, lundi, un séminaire régional ayant pour thème, ‘’la surveillance des groupes bancaires et de leurs filiales. Ces travaux auxquels prennent part une centaine de participants, prendront fin le 17 janvier prochain à Abidjan. Ce séminaire a pour but de donner aux participants, les éléments clés de la surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et leurs filiales. Notamment sur les enjeux en matière de supervision des groupes bancaires transfrontaliers, la nécessité d’une supervision sur la base consolidée et d’un dialogue entre les superviseurs des pays dans lesquels sont focalisées les entités d’un même groupe. Le séminaire vise également à familiariser les participants avec les particularités de la gestion des groupes bancaires transfrontaliers en cas de crise. Coulibaly Adama, représentant Mme le ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances a précisé que la Côte d’Ivoire accueille sur son territoire les sociétés, têtes de groupes bancaires ou mixtes. Ainsi, la surveillance des groupes nécessite une attention particulière des pays de la région, compte tenu du poids des filiales de groupes internationaux ou panafricains dans les systèmes bancaires nationaux. Ainsi, le dialogue, la coopération et la concertation entre superviseurs constituent des facteurs clefs pour une bonne surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et pour contribuer à la stabilité financière aux niveaux nationaux, régionaux et internationaux. Il a mis en relief la récente crise internationale qui a montré les risques de propagations transfrontaliers d’une banque en difficulté. «En tant que pays hôte de groupes bancaires, la Côte d’Ivoire doit veiller à ce que les groupes appliquent les meilleures pratiques en matière de gouvernance et de contrôle interne», a-t-il promis. A sa suite, le Directeur général de l’Afritac de l’Ouest, Jean Le Dem a signifié que les systèmes bancaires des pays de la zone UEMOA, de la Guinée et de la Mauritanie se caractérisent par la très forte présence de groupes bancaires panafricains et mondiaux. De même, a-t-il ajouté, 22 groupes bancaires étaient présents à la fin 2012 dans la zone Uemoa. Raison pour laquelle, il souhaite que les autorités adoptent les dernières pratiques internationales. Car, selon lui, la crise financière internationale a montré la place particulière des groupes transfrontaliers en tant que vecteurs de diffusions. Lehman Brothers, Fortis, Royal Bank of Scotland sont autant d’exemples dont leur chute ont eu des conséquences très défavorables sur l’ensemble des places financières. Les causes des difficultés à l’intérieur des groupes bancaires sont multiples. L’on peut relever, entre autres, les relations financières étroites entre les banques appartenant à un même groupe, la perte de confiance de la part des marchés financiers et des investisseurs.....
B.SORO
La surveillance des groupes bancaires transfrontaliers est un enjeu de taille pour les pays de la sous-région. C’est dans ce cadre que se tient depuis hier, lundi, un séminaire régional ayant pour thème, ‘’la surveillance des groupes bancaires et de leurs filiales. Ces travaux auxquels prennent part une centaine de participants, prendront fin le 17 janvier prochain à Abidjan. Ce séminaire a pour but de donner aux participants, les éléments clés de la surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et leurs filiales. Notamment sur les enjeux en matière de supervision des groupes bancaires transfrontaliers, la nécessité d’une supervision sur la base consolidée et d’un dialogue entre les superviseurs des pays dans lesquels sont focalisées les entités d’un même groupe. Le séminaire vise également à familiariser les participants avec les particularités de la gestion des groupes bancaires transfrontaliers en cas de crise. Coulibaly Adama, représentant Mme le ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances a précisé que la Côte d’Ivoire accueille sur son territoire les sociétés, têtes de groupes bancaires ou mixtes. Ainsi, la surveillance des groupes nécessite une attention particulière des pays de la région, compte tenu du poids des filiales de groupes internationaux ou panafricains dans les systèmes bancaires nationaux. Ainsi, le dialogue, la coopération et la concertation entre superviseurs constituent des facteurs clefs pour une bonne surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et pour contribuer à la stabilité financière aux niveaux nationaux, régionaux et internationaux. Il a mis en relief la récente crise internationale qui a montré les risques de propagations transfrontaliers d’une banque en difficulté. «En tant que pays hôte de groupes bancaires, la Côte d’Ivoire doit veiller à ce que les groupes appliquent les meilleures pratiques en matière de gouvernance et de contrôle interne», a-t-il promis. A sa suite, le Directeur général de l’Afritac de l’Ouest, Jean Le Dem a signifié que les systèmes bancaires des pays de la zone UEMOA, de la Guinée et de la Mauritanie se caractérisent par la très forte présence de groupes bancaires panafricains et mondiaux. De même, a-t-il ajouté, 22 groupes bancaires étaient présents à la fin 2012 dans la zone Uemoa. Raison pour laquelle, il souhaite que les autorités adoptent les dernières pratiques internationales. Car, selon lui, la crise financière internationale a montré la place particulière des groupes transfrontaliers en tant que vecteurs de diffusions. Lehman Brothers, Fortis, Royal Bank of Scotland sont autant d’exemples dont leur chute ont eu des conséquences très défavorables sur l’ensemble des places financières. Les causes des difficultés à l’intérieur des groupes bancaires sont multiples. L’on peut relever, entre autres, les relations financières étroites entre les banques appartenant à un même groupe, la perte de confiance de la part des marchés financiers et des investisseurs.....
La Côte d’Ivoire abrite depuis, hier lundi, un séminaire régional sur la surveillance des groupes bancaires et leurs filiales. Il est organisé par le Centre régional d’assistance technique du FMI de l’Afrique de l’Ouest (Afritac de l’Ouest).
La surveillance des groupes bancaires transfrontaliers est un enjeu de taille pour les pays de la sous-région. C’est dans ce cadre que se tient depuis hier, lundi, un séminaire régional ayant pour thème, ‘’la surveillance des groupes bancaires et de leurs filiales. Ces travaux auxquels prennent part une centaine de participants, prendront fin le 17 janvier prochain à Abidjan. Ce séminaire a pour but de donner aux participants, les éléments clés de la surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et leurs filiales. Notamment sur les enjeux en matière de supervision des groupes bancaires transfrontaliers, la nécessité d’une supervision sur la base consolidée et d’un dialogue entre les superviseurs des pays dans lesquels sont focalisées les entités d’un même groupe. Le séminaire vise également à familiariser les participants avec les particularités de la gestion des groupes bancaires transfrontaliers en cas de crise. Coulibaly Adama, représentant Mme le ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances a précisé que la Côte d’Ivoire accueille sur son territoire les sociétés, têtes de groupes bancaires ou mixtes. Ainsi, la surveillance des groupes nécessite une attention particulière des pays de la région, compte tenu du poids des filiales de groupes internationaux ou panafricains dans les systèmes bancaires nationaux. Ainsi, le dialogue, la coopération et la concertation entre superviseurs constituent des facteurs clefs pour une bonne surveillance des groupes bancaires transfrontaliers et pour contribuer à la stabilité financière aux niveaux nationaux, régionaux et internationaux. Il a mis en relief la récente crise internationale qui a montré les risques de propagations transfrontaliers d’une banque en difficulté. «En tant que pays hôte de groupes bancaires, la Côte d’Ivoire doit veiller à ce que les groupes appliquent les meilleures pratiques en matière de gouvernance et de contrôle interne», a-t-il promis. A sa suite, le Directeur général de l’Afritac de l’Ouest, Jean Le Dem a signifié que les systèmes bancaires des pays de la zone UEMOA, de la Guinée et de la Mauritanie se caractérisent par la très forte présence de groupes bancaires panafricains et mondiaux. De même, a-t-il ajouté, 22 groupes bancaires étaient présents à la fin 2012 dans la zone Uemoa. Raison pour laquelle, il souhaite que les autorités adoptent les dernières pratiques internationales. Car, selon lui, la crise financière internationale a montré la place particulière des groupes transfrontaliers en tant que vecteurs de diffusions. Lehman Brothers, Fortis, Royal Bank of Scotland sont autant d’exemples dont leur chute ont eu des conséquences très défavorables sur l’ensemble des places financières. Les causes des difficultés à l’intérieur des groupes bancaires sont multiples. L’on peut relever, entre autres, les relations financières étroites entre les banques appartenant à un même groupe, la perte de confiance de la part des marchés financiers et des investisseurs.....
B.SORO