Comment contribuer au développement des industries extractives en Côte d’Ivoire au moment où le secteur est en plein essor ? C’est l’une des principales motivations qui a suscité la création du Réseau ivoirien des Journalistes pour la Gouvernance des Ressources Extractives (RIJGRE). Pour sa première sortie depuis sa création le 07 décembre 2013, le RIJGRE est allé à la rencontre des acteurs incontournables du secteur minier en Côte d’Ivoire, le Groupement Professionnel des Miniers de Côte d’Ivoire (GPMCI). C’était le mercredi 15 janvier dernier au siège du groupement à Cocody-Vallon. Le président de RIJGRE, Bertrant Gueu, journaliste à l’Inter, qui conduisait la délégation, était accompagné pour la circonstance, de ses plus proches collaborateurs, notamment son vice-président Christophe Koffi de l’Agence France Presse (AFP), son Secrétaire exécutif, Check Koné, rédacteur en chef à La Tribune de l’Economie, Loukmane Coulibaly de l’agence Reuters, Ouasmane Attaï du Groupe de presse international Eurasia group, Jean Louis Gbangbo du Journal de l’Economie et Francis Taki du Mandat. Au cours des échanges, le président du RIJGRE a expliqué les missions assignées au réseau et demandé par la même occasion la possibilité d’avoir accès à l’information juste dans le domaine des ressources extractives. "Nous voulons en plus de la bonne information, créer un cadre de collaboration gagnant-gagnant entre le RIJGRE et le GPMCI. Nous souhaitons avoir le GPMCI à nos côtés pour ensemble apporter notre contribution au développement de la nouvelle politique nationale sur les ressources extractives." A sa suite, M. Jean Claude Dipplo, représentant le président du GPMCI a souligné que les ambitions du GMPCI cadraient avec celles du RIJGRE, car dira-t-il "il faut qu’on soit tous des alliés pour développer le secteur. Nous sommes donc partants pour bâtir avec vous un partenariat qui va aider à relever l’ensemble de l’industrie. La collaboration est donc acquise. Il faut juste que nous travaillons au plus vite pour formaliser un projet durable et efficace pour nos deux organisations, car il y a beaucoup de sensibilisation et de communication à faire.". M. Dipplo avait à ses côtés plusieurs collaborateurs dont la Secrétaire exécutive du GPMCI, Christine Logbo-Kossi.
F.Taky
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