Tabou - Les abonnés de la société de distribution d’eau de Cote d’Ivoire (SODECI) de Tabou (ouest, région de San-Pedro) se plaignent de plus en plus de la facturation élevée de l'eau fournie par cette entreprise.
Selon des abonnés, des factures de moins de 10.000 FCFA sont passées à plus de 50.000 FCFA pour certains et d’autres d’environ 20.000 CFA à plus de 80.000 CFFA.
« Quand nous nous sommes rendus à la SODECI locale, on nous a dit que nos factures augmentent parce qu’il y a des fuites d’eau, on vérifie avec les plombiers mais ont ne trouve pas de fuite », s’est indigné un abonné qui indique que certains abonnés ont résilié leur abonnement parce qu’ils ne peuvent pas régler les factures.
« Chacun à son niveau doit s’interroger et changer ses installations, les compteurs d’eau ne présentent aucune anomalie », a conseillé le chef du bureau de la SODECI de Tabou, Kra Kedjebo qui insiste sur la vétusté des installations qui serait à la base des fuites, déclinant ainsi la responsabilité de la SODECI.
La ville de tabou a été connectée au réseau d’eau potable en 1992. Depuis 2012 elle bénéficie de l’installation d’une station de traitement qui a augmenté la capacité du château d’eau qui est passée de 6 m3 par heure a 250 m3, souligne-t-on.
(AIP)
Bb/tad/Ask
Selon des abonnés, des factures de moins de 10.000 FCFA sont passées à plus de 50.000 FCFA pour certains et d’autres d’environ 20.000 CFA à plus de 80.000 CFFA.
« Quand nous nous sommes rendus à la SODECI locale, on nous a dit que nos factures augmentent parce qu’il y a des fuites d’eau, on vérifie avec les plombiers mais ont ne trouve pas de fuite », s’est indigné un abonné qui indique que certains abonnés ont résilié leur abonnement parce qu’ils ne peuvent pas régler les factures.
« Chacun à son niveau doit s’interroger et changer ses installations, les compteurs d’eau ne présentent aucune anomalie », a conseillé le chef du bureau de la SODECI de Tabou, Kra Kedjebo qui insiste sur la vétusté des installations qui serait à la base des fuites, déclinant ainsi la responsabilité de la SODECI.
La ville de tabou a été connectée au réseau d’eau potable en 1992. Depuis 2012 elle bénéficie de l’installation d’une station de traitement qui a augmenté la capacité du château d’eau qui est passée de 6 m3 par heure a 250 m3, souligne-t-on.
(AIP)
Bb/tad/Ask