L’Inde est passée depuis 2012, du huitième au quatrième rang des fournisseurs de la Côte d’Ivoire, a relevé vendredi, le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, au cours de la cérémonie d’inauguration du parc technologique Mahatma Gandhi de Grand-Bassam (25 km au Sud d’Abidjan).
C'est en présence de la vice-ministre indienne des Relations extérieures, Preneet Kaur, que le Chef du gouvernement, se félicitant de l'excellence des relations entre les deux pays, a illustré ses propos avec les chiffres des échanges commerciaux entre la Côte d'Ivoire et l'Inde qui s'élèvent à « 381,8 milliards de F CFA en 2012 » contre « 217,2 milliards de F CFA en 2011 ».
C'est pourquoi, M. Duncan est convaincu que « la marge de progression de la coopération indo-ivoirienne est encore très grande, eu égard au dynamisme des acteurs et à l'important potentiel de la Côte d'Ivoire au niveau des ressources agricoles (cacao, hévéa, coton, anacarde) » qui sont «insuffisamment transformées » et également dans «le secteur minier ».
Outre ces domaines d'activités, Daniel Kablan Duncan, indique que « la Côte d'Ivoire aspire elle aussi à la construction d'une société profondément orientée vers les technologies de l'information et de la communication… à l'instar de l'Inde », un pays « à la pointe des innovations technologiques de l'information ».
Cette ambition explique la réalisation d'importantes infrastructures dans le domaine des TIC notamment le village international des technologies de l'Information, de la Communication et de la Biotechnologie (Vitib), et la construction d'un réseau haut débit de fibre optique de 7000 kms de long, d'un coût global de 106 milliards de F CFA, dont 2000 kms sont en cours de réalisation.
Le centre technologique qui a été inauguré consacrant ainsi, la relance de la coopération indo-ivoirienne, bénéficie de la contribution du gouvernement indien avec un prêt de 20 millions de dollars US, soit 10 milliards de FCFA.
« Le Centre que nous inaugurons ce jour sera un élément catalyseur pour l'économie nationale, et un puissant pourvoyeur de main d'œuvre hautement qualifiée », a prédit M. Duncan qui pense que ce projet «permettra à la Côte d'Ivoire de se hisser au rang des Nations résolument tournées vers la maîtrise des techniques et des technologiques.
Car, a-t-il expliqué, « 10% de pénétration des TIC se traduisent par une augmentation de 1% du PIB » et « Ce secteur représente environ 7% du PIB en Côte d'Ivoire ».
En raison de son dynamisme et de l'essor qu'il connait en Côte d'Ivoire depuis ces dernières années avec un chiffre d'affaires de 850 milliards de FCFA et qui pourrait s'améliorer cette année, le secteur des TIC est l'objet d'une taxe dite « taxe spécifique de 3% sur les communications téléphoniques et les technologies de l'information et de la communication » selon les dispositions de la loi des finances 2014.
C'est en présence de la vice-ministre indienne des Relations extérieures, Preneet Kaur, que le Chef du gouvernement, se félicitant de l'excellence des relations entre les deux pays, a illustré ses propos avec les chiffres des échanges commerciaux entre la Côte d'Ivoire et l'Inde qui s'élèvent à « 381,8 milliards de F CFA en 2012 » contre « 217,2 milliards de F CFA en 2011 ».
C'est pourquoi, M. Duncan est convaincu que « la marge de progression de la coopération indo-ivoirienne est encore très grande, eu égard au dynamisme des acteurs et à l'important potentiel de la Côte d'Ivoire au niveau des ressources agricoles (cacao, hévéa, coton, anacarde) » qui sont «insuffisamment transformées » et également dans «le secteur minier ».
Outre ces domaines d'activités, Daniel Kablan Duncan, indique que « la Côte d'Ivoire aspire elle aussi à la construction d'une société profondément orientée vers les technologies de l'information et de la communication… à l'instar de l'Inde », un pays « à la pointe des innovations technologiques de l'information ».
Cette ambition explique la réalisation d'importantes infrastructures dans le domaine des TIC notamment le village international des technologies de l'Information, de la Communication et de la Biotechnologie (Vitib), et la construction d'un réseau haut débit de fibre optique de 7000 kms de long, d'un coût global de 106 milliards de F CFA, dont 2000 kms sont en cours de réalisation.
Le centre technologique qui a été inauguré consacrant ainsi, la relance de la coopération indo-ivoirienne, bénéficie de la contribution du gouvernement indien avec un prêt de 20 millions de dollars US, soit 10 milliards de FCFA.
« Le Centre que nous inaugurons ce jour sera un élément catalyseur pour l'économie nationale, et un puissant pourvoyeur de main d'œuvre hautement qualifiée », a prédit M. Duncan qui pense que ce projet «permettra à la Côte d'Ivoire de se hisser au rang des Nations résolument tournées vers la maîtrise des techniques et des technologiques.
Car, a-t-il expliqué, « 10% de pénétration des TIC se traduisent par une augmentation de 1% du PIB » et « Ce secteur représente environ 7% du PIB en Côte d'Ivoire ».
En raison de son dynamisme et de l'essor qu'il connait en Côte d'Ivoire depuis ces dernières années avec un chiffre d'affaires de 850 milliards de FCFA et qui pourrait s'améliorer cette année, le secteur des TIC est l'objet d'une taxe dite « taxe spécifique de 3% sur les communications téléphoniques et les technologies de l'information et de la communication » selon les dispositions de la loi des finances 2014.
