Bouaké - Les directeurs départementaux et les chargés de surveillance épidémiologique ont bénéficié, du 21 au 25 janvier, d’un séminaire de renforcement de compétences en techniques de collecte et d’analyse des données sanitaires relatives à la santé de la mère et de l’enfant, en vue de l’amélioration de la planification des interventions pour la réduction des décès maternels.
Initié par le ministère de la santé et de la lutte contre le SIDA et l’UNFPA, ce séminaire vise à corriger les faiblesses du système d’information sanitaire ivoirien, pour rendre disponible l’information à temps, en vue d’une prise de décision allant dans le sens dans le sens de l’amélioration de la planification des interventions.
Il s’inscrit dans les activités du plan d’action de ‘’l’initiative H4+SIDA’’ ou Fonds du gouvernement Suédois dont bénéficie la Côte d’Ivoire, dans le cadre de l’accélération de l’atteinte des Objectifs 4 et 5 du millénaire pour le développement à travers la mise en œuvre d’actions à impact rapide.
Les participants, au nombre de 19, sont venus de huit districts des régions sanitaires couverts par le projet H4+SIDA, à savoir la région sanitaire Kabadougou-Bafing-Folon, le Hambol et le Gbèkè. Ils ont été instruits notamment sur ‘’Les indicateurs de santé de reproduction retenus pour le suivi et l’évaluation des interventions de H4+SIDA selon la chaîne des résultats et leur mode de calcul’’, ‘’Les différentes techniques de collecte et analyse des données aux besoins de gestion de l’initiative H4+SIDA’’ et ‘’Les outils ou supports de collecte de données de santé maternelle et néonatale’’.
Le coordonateur national de l’initiative H4+SIDA, Dr Léagui Ouattara, a réaffirmé l’engagement de l’UNFPA et des autres agences du système des Nations Unies à accompagner le gouvernement ivoirien plus particulièrement le ministère de la santé et de la lutte contre le Sida dans la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale, dans la perspective de l’accélération des progrès vers l’atteinte des Objectifs 4 et 5 du millénaire pour le développement à l’horizon 2015.
Dr Ouattara a remercié, par ailleurs, la représentante de l’UNFPA en Côte d’Ivoire et à travers elle toutes les agences du système des Nations Unies à savoir, l’OMS, l’ONUSIDA, l’UNICEF et l’ONUFEMMES, impliquées dans ‘’l’initiative H4+ SIDA’’. En effet, l’exécution financière des Fonds Suédois est assurée par ces cinq agences du système des Nations Unies, chacune intervenant dans son domaine de compétence, avec une coordination technique placée sous la responsabilité de l’UNFPA.
En Côte d’Ivoire, l’on note que malgré les efforts consentis par le gouvernement avec l’appui des ONG, le secteur privé et les partenaires au développement, la santé de la mère et de l’enfant constitue toujours une préoccupation pour les autorités sanitaires, car les indicateurs sont jugés encore trop élevés. De 543 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2005, le ratio est passé à 614 pour 100.000 naissances vivantes en 2012.
Le présent séminaire s’inscrit dans la continuité d’action du renforcement de capacités dont avaient bénéficié des acteurs clés de la santé maternelle des différents niveaux de la pyramide sanitaire ivoirienne, du 04 au 16 novembre 2013, à Bouaké, en revue, surveillance et riposte aux décès maternels, pour la mise en place d’un système efficace pour l’élimination des décès évitables.
(AIP)
Nbf/Ask
Initié par le ministère de la santé et de la lutte contre le SIDA et l’UNFPA, ce séminaire vise à corriger les faiblesses du système d’information sanitaire ivoirien, pour rendre disponible l’information à temps, en vue d’une prise de décision allant dans le sens dans le sens de l’amélioration de la planification des interventions.
Il s’inscrit dans les activités du plan d’action de ‘’l’initiative H4+SIDA’’ ou Fonds du gouvernement Suédois dont bénéficie la Côte d’Ivoire, dans le cadre de l’accélération de l’atteinte des Objectifs 4 et 5 du millénaire pour le développement à travers la mise en œuvre d’actions à impact rapide.
Les participants, au nombre de 19, sont venus de huit districts des régions sanitaires couverts par le projet H4+SIDA, à savoir la région sanitaire Kabadougou-Bafing-Folon, le Hambol et le Gbèkè. Ils ont été instruits notamment sur ‘’Les indicateurs de santé de reproduction retenus pour le suivi et l’évaluation des interventions de H4+SIDA selon la chaîne des résultats et leur mode de calcul’’, ‘’Les différentes techniques de collecte et analyse des données aux besoins de gestion de l’initiative H4+SIDA’’ et ‘’Les outils ou supports de collecte de données de santé maternelle et néonatale’’.
Le coordonateur national de l’initiative H4+SIDA, Dr Léagui Ouattara, a réaffirmé l’engagement de l’UNFPA et des autres agences du système des Nations Unies à accompagner le gouvernement ivoirien plus particulièrement le ministère de la santé et de la lutte contre le Sida dans la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale, dans la perspective de l’accélération des progrès vers l’atteinte des Objectifs 4 et 5 du millénaire pour le développement à l’horizon 2015.
Dr Ouattara a remercié, par ailleurs, la représentante de l’UNFPA en Côte d’Ivoire et à travers elle toutes les agences du système des Nations Unies à savoir, l’OMS, l’ONUSIDA, l’UNICEF et l’ONUFEMMES, impliquées dans ‘’l’initiative H4+ SIDA’’. En effet, l’exécution financière des Fonds Suédois est assurée par ces cinq agences du système des Nations Unies, chacune intervenant dans son domaine de compétence, avec une coordination technique placée sous la responsabilité de l’UNFPA.
En Côte d’Ivoire, l’on note que malgré les efforts consentis par le gouvernement avec l’appui des ONG, le secteur privé et les partenaires au développement, la santé de la mère et de l’enfant constitue toujours une préoccupation pour les autorités sanitaires, car les indicateurs sont jugés encore trop élevés. De 543 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2005, le ratio est passé à 614 pour 100.000 naissances vivantes en 2012.
Le présent séminaire s’inscrit dans la continuité d’action du renforcement de capacités dont avaient bénéficié des acteurs clés de la santé maternelle des différents niveaux de la pyramide sanitaire ivoirienne, du 04 au 16 novembre 2013, à Bouaké, en revue, surveillance et riposte aux décès maternels, pour la mise en place d’un système efficace pour l’élimination des décès évitables.
(AIP)
Nbf/Ask