Il s'agit de civils et de militaires, des anonymes pour la plupart accusés d'atteinte à la sûreté de l'Etat pour ces actes commis pendant la crise post-électorale ou en lien avec les attaques qui ont visé les forces de sécurité durant l'été 2012. Ce geste s'inscrit dans la détente politique voulue par le gouvernement ivoirien qui a aussi convaincu de nombreux exilés de rentrer. Mais, cette décision laisse planer des doutes sur l'indépendance de la justice.
Cette normalisation des relations avec l'opposition a notamment permis le retour de plus de 1 400 militaires en fonction sous l'ancien régime – ainsi que de nombreux civils. Plusieurs sont visés par des mandats d'arrêt émis par la justice ivoirienne, mais jusqu'à présent ils n'ont pas été appliqués. suite de l'article sur RFI
Cette normalisation des relations avec l'opposition a notamment permis le retour de plus de 1 400 militaires en fonction sous l'ancien régime – ainsi que de nombreux civils. Plusieurs sont visés par des mandats d'arrêt émis par la justice ivoirienne, mais jusqu'à présent ils n'ont pas été appliqués. suite de l'article sur RFI