Actuellement au Brésil la coupe du monde de football 2014 monopolise tous les secteurs. Même la présidence de la République Brésilienne. Etrange atmosphère à Rio de Janeiro, Sao Paolo où les opposants au pouvoir de l’état énumèrent les difficultés financières du pays et la coupe du monde, qui suscite des soupçons d’une surfacturation de l’Etat brésilien, pour les stades qui doivent accueillir la coupe du monde. On parle déjà d’une somme totale de 11 milliards d’euros pour l’accueil, la restauration, sans oublier la privatisation de chaque aéroport du brésil où la confédération brésilienne de football a choisi, la ville pour les matchs. 11 milliards d’euros, c’est tout de même impressionnant pour un pays économiquement faible… Malgré les 11 milliards d’euros d’investissement, le brésil est accusé de retard, pour indiquer à la Fifa que rien ne va. On voit cependant la Fifa peu inquiète, sous prétexte que le Brésil est une grande nation de football habitué aux difficultés. Si Blatter ne craint rien, disons tout simplement que le retard de réhabilitation, ou la construction de stades est une force d’appoint pour peser sur les inquiétudes des participants à la coupe du monde 2014. A 4 mois du ‘’Top départ’’ de la coupe du monde, les sujets les plus sensibles commandent la sagesse de l’Etat brésilien, et le privilège du « dernier » mot de la Fifa. Elle a tout intérêt, comme Institution suprême du football, à suivre particulièrement la gestion de la coupe du monde 2014 au Brésil. A ce rythme, si rien n’est fait, le succès de la coupe du monde n’est pas du tout garanti. 11 milliards d’euros ne seront pas dépensés, sans annoncer des efforts. Le retard des infrastructures, en ce qui concerne les stades, les aéroports, est la conséquence malheureuse de problèmes économiques au Brésil, où, presque adhésion et rejet se confondent. De toute manière, il reste 4 mois au Brésil, pour être un modèle sportif. Le Brésil est quintuple championne
Ben Ismaël
Ben Ismaël