ABIDJAN - Des officiers et officiers supé rieurs de police sous l'ex-président Laurent Gbagbo poursuivis pour "violation de consignes" lors de la crise post-électorale ouverte en 2010 ont été relaxés lundi par le tribunal militaire d'Abidjan pour "délit non constitué".
"Le tribunal déclare non coupables les prévenus pour délit non établi, ordonne leur remise en liberté," a déclaré le président du tribunal militaire Mahamadou Diallo.
"Le tribunal ordonne la main levée des mandats de dépôt des pré venus", a-t-il ajouté.
Les policiers dont deux membres de l'ex-garde rapprochée de Laurent Gbagbo sont en détention depuis la fin de la crise post-é lectorale en 2011.
Ces hauts responsables de la police parmi lesquels l'ex-patron de la Direction de la surveillance du territoire (DST) et le contr ôleur général Jean-François Régis Boblae Gossebo, étaient accusés de ne s'être pas ralliés aux Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) entre le 4 décembre 2010 et le 11 avril 2011 à l'appel d'Alassane Ouattara, déclaré vainqueur de l'élection de 2010.
Les violences entre Forces pro-Ouattara et pro-Gbagbo ont fait au moins 3 000 morts.
Laurent Gbagbo est en détention à La Haye dans l'attente d'un é ventuel procès devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité.
"Le tribunal déclare non coupables les prévenus pour délit non établi, ordonne leur remise en liberté," a déclaré le président du tribunal militaire Mahamadou Diallo.
"Le tribunal ordonne la main levée des mandats de dépôt des pré venus", a-t-il ajouté.
Les policiers dont deux membres de l'ex-garde rapprochée de Laurent Gbagbo sont en détention depuis la fin de la crise post-é lectorale en 2011.
Ces hauts responsables de la police parmi lesquels l'ex-patron de la Direction de la surveillance du territoire (DST) et le contr ôleur général Jean-François Régis Boblae Gossebo, étaient accusés de ne s'être pas ralliés aux Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) entre le 4 décembre 2010 et le 11 avril 2011 à l'appel d'Alassane Ouattara, déclaré vainqueur de l'élection de 2010.
Les violences entre Forces pro-Ouattara et pro-Gbagbo ont fait au moins 3 000 morts.
Laurent Gbagbo est en détention à La Haye dans l'attente d'un é ventuel procès devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité.