ABIDJAN - La conseillère juridique du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère ivoirien des Affaires étrangères Thérèse Dekassan a exprimé mardi à Abidjan la volonté des autorités d'identifier "de manière efficace" les réfugiés vivant en Côte d'Ivoire.
Selon Mme Dekassan qui accordait un entretien à des médias, cette volonté s'est traduite par la confection des nouveaux documents d'identification.
"Ces documents ont la même valeur que nos cartes nationales d'identité. Elles devraient permettre aux réfugiés de gérer leur vie civile", a-t-elle expliqué.
Thérèse Dékassan a exhorté les réfugiés installés sur le territoire ivoirien à se présenter dans les zones d'accueil pour recevoir leurs cartes.
Celle-ci a par ailleurs invité les forces de sécurité à permettre une libre circulation des réfugiés munis de leurs cartes.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant sur le sol ivoirien.
Pour les responsables du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR), les documents d'identification des réfugi és permettront une plus grande protection de ceux-ci.
Le secrétaire général du ministère ivoirien des Affaires é trangères Claude Béké s'est pour sa part réjoui de cette opération visant selon lui à rassurer les réfugiés.
"La carte d'identification est un instrument indispensable pour les réfugiés", a-t-il relevé, rappelant que ceux-ci en é taient privés depuis une année.
Pour M. Béké, le gouvernement ivoirien continue de tenir ses engagements concernant l'assistance et la protection des personnes réfugiées.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes.
Après plus de 20 ans de présence en Côte d'Ivoire, de nombreux réfugiés libériens pour la plupart ont pu regagner leur pays grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du HCR et du SAARA.
Plusieurs vagues de réfugiés qui avaient pris le chemin de la Côte d'Ivoire au plus fort de la guerre civile qui a éclaté dans leur pays sont retournés au pays, "rassurés par la normalisation."
De source humanitaire, sur 24 000 réfugiés auparavant installés en Côte d'Ivoire, il n'en reste plus que 1 000.
Selon Mme Dekassan qui accordait un entretien à des médias, cette volonté s'est traduite par la confection des nouveaux documents d'identification.
"Ces documents ont la même valeur que nos cartes nationales d'identité. Elles devraient permettre aux réfugiés de gérer leur vie civile", a-t-elle expliqué.
Thérèse Dékassan a exhorté les réfugiés installés sur le territoire ivoirien à se présenter dans les zones d'accueil pour recevoir leurs cartes.
Celle-ci a par ailleurs invité les forces de sécurité à permettre une libre circulation des réfugiés munis de leurs cartes.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant sur le sol ivoirien.
Pour les responsables du Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR), les documents d'identification des réfugi és permettront une plus grande protection de ceux-ci.
Le secrétaire général du ministère ivoirien des Affaires é trangères Claude Béké s'est pour sa part réjoui de cette opération visant selon lui à rassurer les réfugiés.
"La carte d'identification est un instrument indispensable pour les réfugiés", a-t-il relevé, rappelant que ceux-ci en é taient privés depuis une année.
Pour M. Béké, le gouvernement ivoirien continue de tenir ses engagements concernant l'assistance et la protection des personnes réfugiées.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes.
Après plus de 20 ans de présence en Côte d'Ivoire, de nombreux réfugiés libériens pour la plupart ont pu regagner leur pays grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du HCR et du SAARA.
Plusieurs vagues de réfugiés qui avaient pris le chemin de la Côte d'Ivoire au plus fort de la guerre civile qui a éclaté dans leur pays sont retournés au pays, "rassurés par la normalisation."
De source humanitaire, sur 24 000 réfugiés auparavant installés en Côte d'Ivoire, il n'en reste plus que 1 000.