Bondoukou - Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, Sanogo Malamine a rassuré, mardi, les acteurs de la filière anacarde de Bondoukou que le prix bord champ de la noix de cajou fixé sera désormais respecté.
"Je vais vous rassurer que cette année le prix de l’anacarde va être fixé en Conseil des ministres comme le prix du café et du cacao. Et je vous rassure que ce prix sera respecté", a indiqué M. Sanogo, lors d’une mission d’explication de la reforme des filières coton et anacarde, effectuée par son Conseil à Bondoukou.
Le prix bord champ de l’anacarde au cours de la campagne 2013-2014 était de 201 FCFA, rappelle-t-on.
Le directeur général a souligné que les textes étant pris, l’agrément sera retiré à tout acheteur qui ne respectera pas le prix bord champ fixé par le gouvernement et il en sera de même pour ses produits.
Sanogo Mamadou a exhorté les acteurs de la filière anacarde à préserver leurs produits, à les commercialiser à l’intérieur de leurs régions.
"Il faut qu’on développe nos régions avec l’anacarde. Pour cela il faudra que nos produits soient commercialisés à l’intérieur de nos régions", a-t-il plaidé, invitant les uns et les autres à s’investir dans la transformation de la noix de cajou.
(AIP)
Ns/ask
"Je vais vous rassurer que cette année le prix de l’anacarde va être fixé en Conseil des ministres comme le prix du café et du cacao. Et je vous rassure que ce prix sera respecté", a indiqué M. Sanogo, lors d’une mission d’explication de la reforme des filières coton et anacarde, effectuée par son Conseil à Bondoukou.
Le prix bord champ de l’anacarde au cours de la campagne 2013-2014 était de 201 FCFA, rappelle-t-on.
Le directeur général a souligné que les textes étant pris, l’agrément sera retiré à tout acheteur qui ne respectera pas le prix bord champ fixé par le gouvernement et il en sera de même pour ses produits.
Sanogo Mamadou a exhorté les acteurs de la filière anacarde à préserver leurs produits, à les commercialiser à l’intérieur de leurs régions.
"Il faut qu’on développe nos régions avec l’anacarde. Pour cela il faudra que nos produits soient commercialisés à l’intérieur de nos régions", a-t-il plaidé, invitant les uns et les autres à s’investir dans la transformation de la noix de cajou.
(AIP)
Ns/ask