Agboville - Plus de 1 500 bébés et enfants de la commune d'Agboville, n'ont pas encore reçus les premiers vaccins depuis bientôt un an, du fait de la fermeture du centre social de la ville, a déclaré mercredi, la Directrice du centre social, Mme Tiémoko Delphine, dans un entretien avec la presse.
"C'est vraiment difficile et nous n'avons point de recours", a déploré la directrice de l'établissement. Elle a révélé que plus de 1 500 à 2 000 bébés échappent au système de vaccination, qui était mis en place, par le biais du centre social.
Mme Tiémoko a expliqué que les mamans n'ont plus l'opportunité de faire les vaccins, exposant les enfants aux maladies comme la rougeole, la poliomyélite et la fièvre jaune. Cette situation dure depuis que la nuit du 04 mars 2013, au cours de laquelle, une violente tornade a complètement emporté la toiture du bâtiment, déjà vétuste du centre social d'Agboville.
"Nous avions essayé de nous déporter vers un petit magasin", a expliqué Mme Tiémoko, qui a ajouté que très vite, le site s'est avéré inopportun, à cause de nombreux désagréments, qui pouvaient fragiliser la santé des bébés.
L'impuissance devant les cas de plus en plus nombreux de malnutrition constatée chez les enfants, dans la ville d'Agboville, est le second problème auquel est confronté le personnel du centre social.
"Il n'y a plus de séances d'orientation nutritionnelle et d'apprentissage pour les mamans", a fait observer la directrice, qui dit marquer son espoir dans la mise en place du budget 2014, afin qu'une solution définitive soit trouvée.
(AIP)
dd/kam
"C'est vraiment difficile et nous n'avons point de recours", a déploré la directrice de l'établissement. Elle a révélé que plus de 1 500 à 2 000 bébés échappent au système de vaccination, qui était mis en place, par le biais du centre social.
Mme Tiémoko a expliqué que les mamans n'ont plus l'opportunité de faire les vaccins, exposant les enfants aux maladies comme la rougeole, la poliomyélite et la fièvre jaune. Cette situation dure depuis que la nuit du 04 mars 2013, au cours de laquelle, une violente tornade a complètement emporté la toiture du bâtiment, déjà vétuste du centre social d'Agboville.
"Nous avions essayé de nous déporter vers un petit magasin", a expliqué Mme Tiémoko, qui a ajouté que très vite, le site s'est avéré inopportun, à cause de nombreux désagréments, qui pouvaient fragiliser la santé des bébés.
L'impuissance devant les cas de plus en plus nombreux de malnutrition constatée chez les enfants, dans la ville d'Agboville, est le second problème auquel est confronté le personnel du centre social.
"Il n'y a plus de séances d'orientation nutritionnelle et d'apprentissage pour les mamans", a fait observer la directrice, qui dit marquer son espoir dans la mise en place du budget 2014, afin qu'une solution définitive soit trouvée.
(AIP)
dd/kam