Le ministre français délégué auprès du ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, Guillaume Garot, a affirmé, vendredi, à Abidjan que "80% du chocolat consommé en France est issu du cacao ivoirien".
M. Garot qui s’exprimait à l’occasion de la signature d’une convention de financement des intrants agricoles au profit des producteurs de cacao ivoirien, a en outre dit, "le cacao ivoirien n’est pas n’importe quel cacao, c’est sans doute l’un des meilleurs au monde", affirmant que "les français adorent le cacao ivoirien".
Pour M. Garot, Il y a un défi commun qui lie le consommateur français et le producteur ivoirien. "La France est prête à intensifier ses efforts pour faire en sorte que du point de vue de la recherche, de l’aide aux coopératives de producteurs, des infrastructures que nous puissions être aux côtés des ivoiriens" a-t-il laissé entendre.
Selon lui, il s’agit pour la France d’aider à la restructuration de la filière cacao, indiquant que des orientations de travail ont été définies sur le secteur agroalimentaire. "Il est très important que cette filière puisse assurer un développement durable", s’est justifié le ministre. Il a ajouté que cela signifie que les producteurs puissent tirer un revenu "juste" et "digne" de leur travail et que les transformateurs puissent garantir une "qualité constante" de cacao.
Le ministre français de l’agroalimentaire a, cependant, soutenu que les deux pays pouvaient s’intéresser à d’autres secteurs dans des partenariats "gagnant-gagnant" entre des opérateurs économiques ivoiriens et français.
kkf/ask
M. Garot qui s’exprimait à l’occasion de la signature d’une convention de financement des intrants agricoles au profit des producteurs de cacao ivoirien, a en outre dit, "le cacao ivoirien n’est pas n’importe quel cacao, c’est sans doute l’un des meilleurs au monde", affirmant que "les français adorent le cacao ivoirien".
Pour M. Garot, Il y a un défi commun qui lie le consommateur français et le producteur ivoirien. "La France est prête à intensifier ses efforts pour faire en sorte que du point de vue de la recherche, de l’aide aux coopératives de producteurs, des infrastructures que nous puissions être aux côtés des ivoiriens" a-t-il laissé entendre.
Selon lui, il s’agit pour la France d’aider à la restructuration de la filière cacao, indiquant que des orientations de travail ont été définies sur le secteur agroalimentaire. "Il est très important que cette filière puisse assurer un développement durable", s’est justifié le ministre. Il a ajouté que cela signifie que les producteurs puissent tirer un revenu "juste" et "digne" de leur travail et que les transformateurs puissent garantir une "qualité constante" de cacao.
Le ministre français de l’agroalimentaire a, cependant, soutenu que les deux pays pouvaient s’intéresser à d’autres secteurs dans des partenariats "gagnant-gagnant" entre des opérateurs économiques ivoiriens et français.
kkf/ask