Depuis quelques jours, les députés que vous êtes, sont très actifs sur le terrain avec les femmes de Daloa, en vue d’accueillir l’épouse du président de l’Assemblée nationale à Daloa. Dans quel cadre se situe cette venue de Madame Soro et où en êtes-vous avec les préparatifs ?
Ecoutez, Daloa, c’est la région d’origine de l’épouse de Guillaume Soro. Elle est précisément de Zakoua, village situé à quelques encablures de Daloa.
Elle y va régulièrement. Mais cette fois-ci, c’est spécial parce qu’elle va à la demande de ses frères et surtout de ses sœurs de Daloa qui l’invitent à un repas spécial et fraternel. Et quand nous avons eu à échanger avec son époux, il n’a rien trouvé à redire, il est partant.
Son épouse ne peut qu’être heureuse, à son tour. Le couple adhère et la population est plus qu’enthousiaste. Elle se montre même plus pressée à accueillir son hôte. Elle s’apprête, avec les élus que nous sommes, à organiser cette visite et faire en sorte qu’elle soit véritablement un succès.
Quand aura lieu cette visite spéciale et qu’est-ce qui est prévu au programme?
Ça ne saurait tarder. Quand on voit l’enthousiasme des chefs de village, des jeunes et des femmes, je peux le dire, tout le monde est prêt du côté de Daloa. Mais, il faut reconnaître que nous avons pris Madame Soro au pif. Malgré cela, elle se prépare activement.
C’est une femme qui n’aime pas les ratés dans ce qu’elle fait. Le programme a été validé et nous sommes régulièrement en contact avec elle. Souffrez que je ne puisse pas vous donner la date, pour le moment.
Il y a une note spéciale à retenir. Il y a certes le repas offert par ses parents de Daloa, mais à côté de ça, il y a un tournoi qui porte le nom de la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara. Elle doit donner le coup d’envoi de ce grand tournoi qui va se dérouler dans tout le département.
Et Mme Soro a tenu à enfiler un maillot, par amour pour son papa, le président de la République, Alassane Ouattara et pour sa maman, Dominique Ouattara. Pour Mme Soro, un coup d’envoi n’est pas suffisant. Elle a donc décidé de jouer un match entier de 90 minutes, pour marquer son attachement total à la cause de sa tantie.
Barthélémy Inabo, ex-animateur à la télévision ivoirienne s’est dit choqué de certains propos du président Guillaume Soro qui aurait dit que les licenciés de la télévision ont incité à la haine. Comment réagissez-vous, face à cette sortie ?
Pour moi, Barthélémy Inabo n’est pas une référence. Ce que je peux dire, c’est qu’il se trompe d’adversaire, car je considère sa sortie comme une attaque contre le président de l’Assemblée nationale.
Peut-être qu’il a préféré se laisser guider par le dicton selon lequel il faut se mesurer aux grands pour devenir grand. Mais là, il se trompe, car cela n’est pas toujours vérifié. Tout le monde a vu ce qu’est devenue notre télévision nationale et sait les propos qui y étaient tenus.
Lui-même soutient que tout ce qui est dit par voie de presse ou médias, laisse de traces indélébiles. Les propos ont laissé des traces et tout le monde entier a été témoin. Barthélémy Inabo aurait mieux fait de rester sage, par rapport à son âge, par rapport à Guillaume Soro.
Réalisé par Bayo Fatim à Daloa
Ecoutez, Daloa, c’est la région d’origine de l’épouse de Guillaume Soro. Elle est précisément de Zakoua, village situé à quelques encablures de Daloa.
Elle y va régulièrement. Mais cette fois-ci, c’est spécial parce qu’elle va à la demande de ses frères et surtout de ses sœurs de Daloa qui l’invitent à un repas spécial et fraternel. Et quand nous avons eu à échanger avec son époux, il n’a rien trouvé à redire, il est partant.
Son épouse ne peut qu’être heureuse, à son tour. Le couple adhère et la population est plus qu’enthousiaste. Elle se montre même plus pressée à accueillir son hôte. Elle s’apprête, avec les élus que nous sommes, à organiser cette visite et faire en sorte qu’elle soit véritablement un succès.
Quand aura lieu cette visite spéciale et qu’est-ce qui est prévu au programme?
Ça ne saurait tarder. Quand on voit l’enthousiasme des chefs de village, des jeunes et des femmes, je peux le dire, tout le monde est prêt du côté de Daloa. Mais, il faut reconnaître que nous avons pris Madame Soro au pif. Malgré cela, elle se prépare activement.
C’est une femme qui n’aime pas les ratés dans ce qu’elle fait. Le programme a été validé et nous sommes régulièrement en contact avec elle. Souffrez que je ne puisse pas vous donner la date, pour le moment.
Il y a une note spéciale à retenir. Il y a certes le repas offert par ses parents de Daloa, mais à côté de ça, il y a un tournoi qui porte le nom de la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara. Elle doit donner le coup d’envoi de ce grand tournoi qui va se dérouler dans tout le département.
Et Mme Soro a tenu à enfiler un maillot, par amour pour son papa, le président de la République, Alassane Ouattara et pour sa maman, Dominique Ouattara. Pour Mme Soro, un coup d’envoi n’est pas suffisant. Elle a donc décidé de jouer un match entier de 90 minutes, pour marquer son attachement total à la cause de sa tantie.
Barthélémy Inabo, ex-animateur à la télévision ivoirienne s’est dit choqué de certains propos du président Guillaume Soro qui aurait dit que les licenciés de la télévision ont incité à la haine. Comment réagissez-vous, face à cette sortie ?
Pour moi, Barthélémy Inabo n’est pas une référence. Ce que je peux dire, c’est qu’il se trompe d’adversaire, car je considère sa sortie comme une attaque contre le président de l’Assemblée nationale.
Peut-être qu’il a préféré se laisser guider par le dicton selon lequel il faut se mesurer aux grands pour devenir grand. Mais là, il se trompe, car cela n’est pas toujours vérifié. Tout le monde a vu ce qu’est devenue notre télévision nationale et sait les propos qui y étaient tenus.
Lui-même soutient que tout ce qui est dit par voie de presse ou médias, laisse de traces indélébiles. Les propos ont laissé des traces et tout le monde entier a été témoin. Barthélémy Inabo aurait mieux fait de rester sage, par rapport à son âge, par rapport à Guillaume Soro.
Réalisé par Bayo Fatim à Daloa
