La taxe appliquée sur le tabac passe de 23 à 25% en Côte d’Ivoire, a appris APA mardi de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.
« La problématique des méfaits du tabac est d’actualité (…) », a déclaré Aminata Coulibaly, Chef de cabinet du ministre ivoirien de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, à l’ouverture des ateliers pour un changement de politique de taxation du tabac dans l’espace de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Soulignant les nombreuses initiatives prises par le gouvernement ivoirien pour lutter contre le tabagisme en Côte d’Ivoire, Mme Coulibaly a annoncé que « la taxe appliquée sur le tabac passe de 23 à 25% ». Elle a également cité l’interdiction de fumer dans les lieux publics et l’année 2013 qui a été décrétée « année de la santé ».
Ces ateliers régionaux de plaidoyer pour un changement de politique de taxation du tabac dans l’espace CEDEAO réunissent des représentants du comité interparlementaire de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et du parlement de la CEDEAO, mais aussi ceux des gouvernements des 15 Etats de l’Afrique de l’Ouest à travers les ministères de l’Economie et des finances (directions des impôts et des douanes) et les ministères en charge de la Santé.
L’Organisation mondiale de la santé, l’Organisation ouest-africaine pour la santé (OOAS), le CRDI, African Tobacco Control Alliance (ATCA) et l’Université sud africaine de Cape Town, sont également au nombre des participants.
Ces rencontres régionales organisées conjointement par le Consortium de recherche économique et sociale (CRES), l’UEMOA et la CEDEAO, avec l’appui du Centre de recherche pour le développement international (CRDI), s’achèveront jeudi par une déclaration "pour une taxation plus forte et plus efficace des produits du tabac en Afrique de l’Ouest".
La journée de mardi a été consacrée à la première session qui a regroupé les représentants des parlementaires de la sous-région. La deuxième session qui réunira les représentants des administrations des Etats membres de l’UEMOA, de la CEDEAO, de la société civile nationale, régionale et internationale, se tiendra mercredi et jeudi.
LS/APA
« La problématique des méfaits du tabac est d’actualité (…) », a déclaré Aminata Coulibaly, Chef de cabinet du ministre ivoirien de l’intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur, à l’ouverture des ateliers pour un changement de politique de taxation du tabac dans l’espace de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Soulignant les nombreuses initiatives prises par le gouvernement ivoirien pour lutter contre le tabagisme en Côte d’Ivoire, Mme Coulibaly a annoncé que « la taxe appliquée sur le tabac passe de 23 à 25% ». Elle a également cité l’interdiction de fumer dans les lieux publics et l’année 2013 qui a été décrétée « année de la santé ».
Ces ateliers régionaux de plaidoyer pour un changement de politique de taxation du tabac dans l’espace CEDEAO réunissent des représentants du comité interparlementaire de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et du parlement de la CEDEAO, mais aussi ceux des gouvernements des 15 Etats de l’Afrique de l’Ouest à travers les ministères de l’Economie et des finances (directions des impôts et des douanes) et les ministères en charge de la Santé.
L’Organisation mondiale de la santé, l’Organisation ouest-africaine pour la santé (OOAS), le CRDI, African Tobacco Control Alliance (ATCA) et l’Université sud africaine de Cape Town, sont également au nombre des participants.
Ces rencontres régionales organisées conjointement par le Consortium de recherche économique et sociale (CRES), l’UEMOA et la CEDEAO, avec l’appui du Centre de recherche pour le développement international (CRDI), s’achèveront jeudi par une déclaration "pour une taxation plus forte et plus efficace des produits du tabac en Afrique de l’Ouest".
La journée de mardi a été consacrée à la première session qui a regroupé les représentants des parlementaires de la sous-région. La deuxième session qui réunira les représentants des administrations des Etats membres de l’UEMOA, de la CEDEAO, de la société civile nationale, régionale et internationale, se tiendra mercredi et jeudi.
LS/APA