La section ivoirienne du Réseau Paix et Sécurité des Femmes dans l’espace CEDEAO (REPSFECO) a lancé, jeudi, à Abidjan, la base de données « Genre, Femmes, Paix et Sécurité en Afrique de l’Ouest) en présence des délégations sœurs venues des pays membres et du Ministre ivoirien de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto.
La mise en place d’une base de données « genre, paix et sécurité en Afrique de l’Ouest », émane, selon Me Géneviève Diallo, présidente de la section ivoirienne du REPSFECO, des recommandations des journées portes ouvertes 2012 sur les résolutions 1325 (2000) du Conseil de sécurité des Nations Unies.
« Cette initiative est du bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest (UNOWA) et de l’entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU Femmes), en collaboration avec la centre de la CEDEAO pour le développement du Genre, l’union du fleuve Mano et les autres partenaires du groupe de travail femmes, paix et sécurité en Afrique de l’Ouest (GTFPS-AO) », a-t-elle précisé.
La base de données a pour objectif d’améliorer l’efficacité d’information et de partage de connaissances sur le thème « genre, femmes, paix et sécurité » à travers la mise en place d’une plate-forme recensant l’ensemble des institutions intervenant dans ce domaine et qui sera accessible à tous.
C’est pourquoi, un atelier de formation et de validation des données a précédé, du 10 au 12 février dans la capitale économique ivoirienne, pour former et transmettre des compétences à un groupe de cadres des institutions membres du GTFPS-AO, utilisatrices principales de la base de données. Il s’agit de leur permettre d’administrer totalement le système, de l’exploiter de façon maximale, de l’utiliser et de le mettre à jour.
Une initiative saluée et encouragée par la ministre Anne Désirée Ouloto qui a indiqué que les gouvernants des pays membres attendent « beaucoup » de cette plate-forme pour booster l’action des gouvernements en matière de parité hommes-femmes.
Pour le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest, Saïd Djinnit, l’organisation mondiale se tient aux côtés du REPSFECO pour apporter son soutien afin que toutes « les initiatives de Paix tiennent en considération l’impact des rapports entre le genre et incorporer les femmes dans leurs politiques et projets ».
La mise en place d’une base de données « genre, paix et sécurité en Afrique de l’Ouest », émane, selon Me Géneviève Diallo, présidente de la section ivoirienne du REPSFECO, des recommandations des journées portes ouvertes 2012 sur les résolutions 1325 (2000) du Conseil de sécurité des Nations Unies.
« Cette initiative est du bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest (UNOWA) et de l’entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU Femmes), en collaboration avec la centre de la CEDEAO pour le développement du Genre, l’union du fleuve Mano et les autres partenaires du groupe de travail femmes, paix et sécurité en Afrique de l’Ouest (GTFPS-AO) », a-t-elle précisé.
La base de données a pour objectif d’améliorer l’efficacité d’information et de partage de connaissances sur le thème « genre, femmes, paix et sécurité » à travers la mise en place d’une plate-forme recensant l’ensemble des institutions intervenant dans ce domaine et qui sera accessible à tous.
C’est pourquoi, un atelier de formation et de validation des données a précédé, du 10 au 12 février dans la capitale économique ivoirienne, pour former et transmettre des compétences à un groupe de cadres des institutions membres du GTFPS-AO, utilisatrices principales de la base de données. Il s’agit de leur permettre d’administrer totalement le système, de l’exploiter de façon maximale, de l’utiliser et de le mettre à jour.
Une initiative saluée et encouragée par la ministre Anne Désirée Ouloto qui a indiqué que les gouvernants des pays membres attendent « beaucoup » de cette plate-forme pour booster l’action des gouvernements en matière de parité hommes-femmes.
Pour le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest, Saïd Djinnit, l’organisation mondiale se tient aux côtés du REPSFECO pour apporter son soutien afin que toutes « les initiatives de Paix tiennent en considération l’impact des rapports entre le genre et incorporer les femmes dans leurs politiques et projets ».