Des accords d’exécution avec des structures de gestion de filières agricoles d’un montant global de 75,4 milliards FCFA au bénéfice de 120.000 producteurs, ont été signés hier entre le ministre de l’Agriculture, Coulibaly Mamadou Sangafowa, et des organes de gestion de filières agricoles, à savoir le Conseil du Café-Cacao, l’APROMAC (hévéa) et l’AIPH (palmier à huile), a appris l’Aip.
Cette signature d’accords s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui au secteur agricole en Côte d’Ivoire (PSAC), qui est la déclinaison, en terme opérationnel, de la composante du Programme national d’investissement agricole (PNIA) sur les cultures de rente que sont le cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coton et l’anacarde.
Après avoir paraphé le document, le patron de l’agriculture ivoirienne a rappelé que cet acte fait suite à l’engagement pris par le gouvernement le 05 novembre auprès de la Banque mondiale, en vue de redynamiser le secteur agricole. Ce, en s’appuyant notamment sur le secteur privé, afin que l’Etat puisse jouer son rôle régalien de régulateur du développement.
Tout en soulignant que cet engagement gouvernemental est un acte fort du PNIA, le ministre a exprimé sa gratitude à la Banque mondiale et à l’Agence française de développement (AFD).
Au nom de ces deux institutions, le directeur de l’AFD pour la Côte d’Ivoire et le Libéria, Bruno Leclerc a expliqué qu’il s’agit d’une étape importante dans l’exécution du projet. Précisant que la démarche a été menée en réel partenariat avec le ministère de l’Agriculture (MINAGRI), les filières concernées et la Banque mondiale.
M. Leclerc a insisté sur les mots "partenariat" et "contractualisation", souhaitant d’ores et déjà la concrétisation du projet sur le terrain car, a-t-il noté, « ces filières (cacao, hévéa, palmier à huile, ndlr) sont le moteur de la vie rurale et doivent faire l’objet d’une attention soutenue ».
S’exprimant après la signature de l’accord au nom de l’Association des professionnels et manufacturiers du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC), Honest Wadjas qui a souligné que la filière hévéa a connu quelques problèmes l’année dernière, s’est réjoui de l’accompagnement du gouvernement à ses côtés, pour relever les principaux défis. Il a promis de faire bon usage des fonds, tout en espérant que « cela va propulser (les bénéficiaires) vers des horizons meilleurs ».
Quant à Koréki Christophe, signataire pour le compte de l’Association interprofessionnelle du palmier à huile (AIPH), il s’est réjoui de cette innovation engageant le secteur privé dans le projet. Selon lui, cette initiative est importante pour le développement de la filière palmier à huile en particulier et le secteur agricole en général.
Pour sa part, la directrice générale du Conseil du Café-Cacao, Massandjé Touré-Litse a remercié les partenaires au développement pour ce projet. Elle a promis de tout mettre en œuvre pour sa réussite, à travers l’amélioration de l’accès à l’eau, à la santé, à la sécurité, à l’éducation ainsi que la réhabilitation ou la création des pistes de desserte agricole, au profit des communautés productrices.
Le PSAC vise d’une part, à améliorer l’accès des petits exploitants aux technologies et aux marchés et, d’autre part, à améliorer la gouvernance des chaînes de valeur des cinq filières agricoles porteuses de croissance.
Cette signature d’accords s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui au secteur agricole en Côte d’Ivoire (PSAC), qui est la déclinaison, en terme opérationnel, de la composante du Programme national d’investissement agricole (PNIA) sur les cultures de rente que sont le cacao, l’hévéa, le palmier à huile, le coton et l’anacarde.
Après avoir paraphé le document, le patron de l’agriculture ivoirienne a rappelé que cet acte fait suite à l’engagement pris par le gouvernement le 05 novembre auprès de la Banque mondiale, en vue de redynamiser le secteur agricole. Ce, en s’appuyant notamment sur le secteur privé, afin que l’Etat puisse jouer son rôle régalien de régulateur du développement.
Tout en soulignant que cet engagement gouvernemental est un acte fort du PNIA, le ministre a exprimé sa gratitude à la Banque mondiale et à l’Agence française de développement (AFD).
Au nom de ces deux institutions, le directeur de l’AFD pour la Côte d’Ivoire et le Libéria, Bruno Leclerc a expliqué qu’il s’agit d’une étape importante dans l’exécution du projet. Précisant que la démarche a été menée en réel partenariat avec le ministère de l’Agriculture (MINAGRI), les filières concernées et la Banque mondiale.
M. Leclerc a insisté sur les mots "partenariat" et "contractualisation", souhaitant d’ores et déjà la concrétisation du projet sur le terrain car, a-t-il noté, « ces filières (cacao, hévéa, palmier à huile, ndlr) sont le moteur de la vie rurale et doivent faire l’objet d’une attention soutenue ».
S’exprimant après la signature de l’accord au nom de l’Association des professionnels et manufacturiers du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire (APROMAC), Honest Wadjas qui a souligné que la filière hévéa a connu quelques problèmes l’année dernière, s’est réjoui de l’accompagnement du gouvernement à ses côtés, pour relever les principaux défis. Il a promis de faire bon usage des fonds, tout en espérant que « cela va propulser (les bénéficiaires) vers des horizons meilleurs ».
Quant à Koréki Christophe, signataire pour le compte de l’Association interprofessionnelle du palmier à huile (AIPH), il s’est réjoui de cette innovation engageant le secteur privé dans le projet. Selon lui, cette initiative est importante pour le développement de la filière palmier à huile en particulier et le secteur agricole en général.
Pour sa part, la directrice générale du Conseil du Café-Cacao, Massandjé Touré-Litse a remercié les partenaires au développement pour ce projet. Elle a promis de tout mettre en œuvre pour sa réussite, à travers l’amélioration de l’accès à l’eau, à la santé, à la sécurité, à l’éducation ainsi que la réhabilitation ou la création des pistes de desserte agricole, au profit des communautés productrices.
Le PSAC vise d’une part, à améliorer l’accès des petits exploitants aux technologies et aux marchés et, d’autre part, à améliorer la gouvernance des chaînes de valeur des cinq filières agricoles porteuses de croissance.