Abidjan – Le 17ème congrès de l’Association africaine de l’eau (AAE), ouvert lundi à Abidjan, s’est avéré une plateforme pour la présidente de l’AAE, Duduzile Myeni, pour lancer un appel pressant aux acteurs et décideurs afin de trouver une solution africaine à la problématique de l’eau et de l’assainissement sur le continent.
« Nous avons le pouvoir d’innover et de développer des solutions africaines, ce qui ne veut pas dire rejet des TIC, mais adapter les TIC au contexte africain », a lancé Mme Duduzile lors de la cérémonie d’ouverture du congrès qui porte sur la « Mobilisation des ressources et gouvernance de l’eau et de l’assainissement en Afrique ».
Convaincue que « l’eau est une commodité sociale », la présidente de l’AAE estime que pour adresser la question de l’eau et de l’assainissement en Afrique, il est nécessaire de construire des infrastructures pour les futures générations et non des infrastructures à court terme pour les besoins actuels seulement.
« La détermination existe, tout comme la foi et le soutien », a souligné Mme Duduzile, exhortant les agences de financement de développement et les Etats à investir davantage dans le secteur. La présidente de l’AAE voit un signe d’espoir à travers la convergence de toutes les parties prenantes à Abidjan, à l’occasion du 17ème congrès.
Aussi, a-t-elle appelé les congressistes à des réflexions fructueuses, à comprendre les contraintes et les opportunités drainées par ces assises. « L’Association africaine de l’eau ne doit jamais oublier ses objectifs initiaux, c’est-à-dire améliorer l’eau et l’assainissement en Afrique », a ajouté la présidente.
Présidé par le directeur général de la Société de distribution de l’eau en Côte d’Ivoire (SODECI), Ebah Basile, ce congrès, officiellement ouvert par le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, s’achève jeudi. Quelque 1200 participants y prennent part dont 120 exposants.
(AIP)
cmas
« Nous avons le pouvoir d’innover et de développer des solutions africaines, ce qui ne veut pas dire rejet des TIC, mais adapter les TIC au contexte africain », a lancé Mme Duduzile lors de la cérémonie d’ouverture du congrès qui porte sur la « Mobilisation des ressources et gouvernance de l’eau et de l’assainissement en Afrique ».
Convaincue que « l’eau est une commodité sociale », la présidente de l’AAE estime que pour adresser la question de l’eau et de l’assainissement en Afrique, il est nécessaire de construire des infrastructures pour les futures générations et non des infrastructures à court terme pour les besoins actuels seulement.
« La détermination existe, tout comme la foi et le soutien », a souligné Mme Duduzile, exhortant les agences de financement de développement et les Etats à investir davantage dans le secteur. La présidente de l’AAE voit un signe d’espoir à travers la convergence de toutes les parties prenantes à Abidjan, à l’occasion du 17ème congrès.
Aussi, a-t-elle appelé les congressistes à des réflexions fructueuses, à comprendre les contraintes et les opportunités drainées par ces assises. « L’Association africaine de l’eau ne doit jamais oublier ses objectifs initiaux, c’est-à-dire améliorer l’eau et l’assainissement en Afrique », a ajouté la présidente.
Présidé par le directeur général de la Société de distribution de l’eau en Côte d’Ivoire (SODECI), Ebah Basile, ce congrès, officiellement ouvert par le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, s’achève jeudi. Quelque 1200 participants y prennent part dont 120 exposants.
(AIP)
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