L’Etat de Côte d’Ivoire va céder ses parts dans le cadre de la mise en œuvre d’une politique de privation qui va toucher 15 entreprises nationales.
Le capital social de ces entreprises à privatiser s’élève à 94 milliards de FCFA pour une part détenue par l’Etat estimée à 34,2 milliards de FCFA, indique une note d’information de la Primature parvenue lundi à Xinhua.
Selon la note d’information, un Comité de privatisation composé de neuf membres a été officiellement installé vendredi en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
Le Comité a proposé depuis le mois de mai au gouvernement qui l’a adopté une liste de 15 sociétés à privatiser dont la Société des mines d’or d’Ity au sein de laquelle le footballeur international Didier Drogba a pris 5% d’actions.
Il doit, entre autres misions, "approuver les résultats des études relatives à la privatisation des entreprises, formuler des modes de privatisation pour chaque entreprise, évaluer les offres et la sélection des repreneurs, déterminer le prix d’offre et le prix de cession des actions et des actifs".
La politique de privation vise "l’amélioration de la situation des finances publiques grâce à l’accroissement des ressources de l’Etat, la participation plus active du secteur privé à la gestion et au financement de l’économie", relève le Premier ministre ivoirien cité par la note d’information.
Pour lui, le programme de privatisation est un "moyen supplémentaire de rendre les entreprises à participation étatique plus performantes et plus compétitives et donc plus à même de contribuer au développement de la Côte d’Ivoire".
Entre 1994 et 1998, au total 55 entreprises privatisées ont généré plus de 294 milliards FCFA de recettes nettes à l’Etat.
Dans un contexte de relance économique et de reconstruction nationale, après une décennie de crise militaro-politique, le gouvernement ivoirien insiste sur le rôle du secteur privé comme le moteur de la croissance.
Le capital social de ces entreprises à privatiser s’élève à 94 milliards de FCFA pour une part détenue par l’Etat estimée à 34,2 milliards de FCFA, indique une note d’information de la Primature parvenue lundi à Xinhua.
Selon la note d’information, un Comité de privatisation composé de neuf membres a été officiellement installé vendredi en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
Le Comité a proposé depuis le mois de mai au gouvernement qui l’a adopté une liste de 15 sociétés à privatiser dont la Société des mines d’or d’Ity au sein de laquelle le footballeur international Didier Drogba a pris 5% d’actions.
Il doit, entre autres misions, "approuver les résultats des études relatives à la privatisation des entreprises, formuler des modes de privatisation pour chaque entreprise, évaluer les offres et la sélection des repreneurs, déterminer le prix d’offre et le prix de cession des actions et des actifs".
La politique de privation vise "l’amélioration de la situation des finances publiques grâce à l’accroissement des ressources de l’Etat, la participation plus active du secteur privé à la gestion et au financement de l’économie", relève le Premier ministre ivoirien cité par la note d’information.
Pour lui, le programme de privatisation est un "moyen supplémentaire de rendre les entreprises à participation étatique plus performantes et plus compétitives et donc plus à même de contribuer au développement de la Côte d’Ivoire".
Entre 1994 et 1998, au total 55 entreprises privatisées ont généré plus de 294 milliards FCFA de recettes nettes à l’Etat.
Dans un contexte de relance économique et de reconstruction nationale, après une décennie de crise militaro-politique, le gouvernement ivoirien insiste sur le rôle du secteur privé comme le moteur de la croissance.