La résidence de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire a servi de cadre à la cérémonie de remise du prix du mérite agricole français à trois femmes cheffes d’entreprise en côte d’Ivoire. Ainsi, des mains du ministre français de l’Agriculture, Monsieur Guillaume GAROT, lors de sa visite en côte d’Ivoire début février 2014, madame Touré Massogbè PDG de la société Ivoirienne de Traitement d’Anacarde (SITA. sa) a été honorée pour sa carrière exemplaire dans le monde de l’entrepreneuriat. Selon le ministre GAROT, c’est une femme entrepreneur que la France a voulu distinguer. Il n’a pas manqué de retracer la carrière de la Présidente de la Commission Entrepreneuriat Féminin de la CGECI, qui occupe aussi la fonction de directrice générale de l’Hôtel ‘’ les frontières‘’ depuis 1989 et Présidente Directrice General de la Société Ivoirienne de Traitement d’Anacarde (SITA.sa) depuis 2000.
Madame Touré est une entrepreneure qui s’implique de façon très résolue dans les causes collectives, selon le ministre français qui a relevé cet engagement en ces termes : « Vous êtes présidente de l’association pour le développement de la filière cajou africaine depuis 2004, vice-présidente de l’alliance Africaine de Cajou depuis 2005, présidente du conseil d’administration de la caisse d’épargne pour le développement agricole et industriel de la Côte d’Ivoire depuis 2011 et membre du Conseil d’Administration du Coton Anacarde à partir de 2014. Mère de cinq enfants, on ne peut qu’admirer une telle implication pour l’agriculture ivoirienne et plus généralement pour l’agriculture africaine ». Mais, un autre fondement mobilise cette dame infatigable. Il s’agit de la cause des femmes entrepreneures africaines puisque depuis 2009, elle est la présidente de l’antenne ivoirienne de la fédération des femmes entrepreneures et des femmes d’affaires de l’Afrique de l’Ouest. L’an dernier (2013) elle a pris la présidence de l’African Woman’s entrepreneur ship program de Côte d’Ivoire. « C’est une cause particulièrement importante pour le développement et l’avenir de l’Afrique et il est primordial que les femmes puissent s’impliquer et prendre leur responsabilité dans l’économie et dans les entreprises locales », Dira le ministre Français. Remettant la croix qui fait d’elle chevalier dans l’ordre du mérite agricole français, le ministre Garot a tenu à réparer une injustice : « Commandeur dans l’ordre du mérite ivoirien, officier dans l’ordre du mérite agricole ivoirien, mais vous n’étiez pas distingué par la république française. Cet oubli va être réparé. Parce que vous vous êtes toujours situé dans le cadre de l’amitié entre la France et la Côte d’Ivoire. Merci pour tout ce que tu fais et au nom du ministre de la république française de l’Agriculture, j’ai le grand plaisir de vous faire chevalier dans l’ordre du mérite agricole français ».
Prenant la parole, le récipiendaire, Madame Touré Massogbè a tenu à remercier tout d’abord son époux, le ministre du transport de côte d’Ivoire, M. Touré Gaoussou, pour son soutien de tous les jours. « Etre femmes entrepreneur n’est pas chose facile et j’ai du privé mes enfants de ma présence pour ce travail sans répit ». a-t-elle souligné. Aussi dédie-t-elle également cette médaille à ces enfants, à sa famille et à ces parents qu’elle aurait voulu avoir à ces cotés. Aussi, cette distinction, elle la dédie à toutes les femmes battantes et entrepreneures de Côte d’Ivoire. Ces femmes du milieu rural qui font un travail pas toujours reconnu. Elle n’a pas oublié d’adresser un grand merci à la France qui a bien voulu distinguer les femmes entrepreneures à travers sa personne. Ces braves femmes qui sont chaque jour sous le soleil, dans les usines et les champs, sont aujourd’hui distinguées ». A-t-elle conclu, avant de renouvelé son engagement à honorer la confiance placée en elle et aux femmes entrepreneures.
Madame Touré est une entrepreneure qui s’implique de façon très résolue dans les causes collectives, selon le ministre français qui a relevé cet engagement en ces termes : « Vous êtes présidente de l’association pour le développement de la filière cajou africaine depuis 2004, vice-présidente de l’alliance Africaine de Cajou depuis 2005, présidente du conseil d’administration de la caisse d’épargne pour le développement agricole et industriel de la Côte d’Ivoire depuis 2011 et membre du Conseil d’Administration du Coton Anacarde à partir de 2014. Mère de cinq enfants, on ne peut qu’admirer une telle implication pour l’agriculture ivoirienne et plus généralement pour l’agriculture africaine ». Mais, un autre fondement mobilise cette dame infatigable. Il s’agit de la cause des femmes entrepreneures africaines puisque depuis 2009, elle est la présidente de l’antenne ivoirienne de la fédération des femmes entrepreneures et des femmes d’affaires de l’Afrique de l’Ouest. L’an dernier (2013) elle a pris la présidence de l’African Woman’s entrepreneur ship program de Côte d’Ivoire. « C’est une cause particulièrement importante pour le développement et l’avenir de l’Afrique et il est primordial que les femmes puissent s’impliquer et prendre leur responsabilité dans l’économie et dans les entreprises locales », Dira le ministre Français. Remettant la croix qui fait d’elle chevalier dans l’ordre du mérite agricole français, le ministre Garot a tenu à réparer une injustice : « Commandeur dans l’ordre du mérite ivoirien, officier dans l’ordre du mérite agricole ivoirien, mais vous n’étiez pas distingué par la république française. Cet oubli va être réparé. Parce que vous vous êtes toujours situé dans le cadre de l’amitié entre la France et la Côte d’Ivoire. Merci pour tout ce que tu fais et au nom du ministre de la république française de l’Agriculture, j’ai le grand plaisir de vous faire chevalier dans l’ordre du mérite agricole français ».
Prenant la parole, le récipiendaire, Madame Touré Massogbè a tenu à remercier tout d’abord son époux, le ministre du transport de côte d’Ivoire, M. Touré Gaoussou, pour son soutien de tous les jours. « Etre femmes entrepreneur n’est pas chose facile et j’ai du privé mes enfants de ma présence pour ce travail sans répit ». a-t-elle souligné. Aussi dédie-t-elle également cette médaille à ces enfants, à sa famille et à ces parents qu’elle aurait voulu avoir à ces cotés. Aussi, cette distinction, elle la dédie à toutes les femmes battantes et entrepreneures de Côte d’Ivoire. Ces femmes du milieu rural qui font un travail pas toujours reconnu. Elle n’a pas oublié d’adresser un grand merci à la France qui a bien voulu distinguer les femmes entrepreneures à travers sa personne. Ces braves femmes qui sont chaque jour sous le soleil, dans les usines et les champs, sont aujourd’hui distinguées ». A-t-elle conclu, avant de renouvelé son engagement à honorer la confiance placée en elle et aux femmes entrepreneures.