Un séminaire international sur l’enregistrement biométrique des électeurs s’est ouvert mardi à Abidjan en vue de renforcer la capacité des acteurs de la société civile en matière d’utilisation des nouvelles technologies dans les processus électoraux en Afrique.
"Bien faite, la biométrie peut faciliter l’éthique des inscriptions et contribuer à des élections crédibles et inclusives, cependant, mal maîtrisée, elle peut devenir un outil de manipulation, surtout avec le taux élevé d’analphabétisme" dans les pays africains, a déclaré le directeur Afrique du National democratic institute (NDI), Christopher Fomunyoh, initiateur du séminaire.
Il a relevé que l’administration des élections a évolué avec les technologies de l’information et de la communication, non sans insister que la biométrie est devenue "un instrument de choix" pour l’inscription des électeurs sur les listes électorales.
Les "élections mal organisées étant sources de conflits", Christopher Fomunyoh a invité les participants à tirer profit de la formation pour être "plus performants sur les chantiers des élections crédibles, apaisées et démocratiques pour permettre aux pays africains de poursuivre leur développement en paix".
"La conduite d’élections transparentes jugées comme libres et équitables par les citoyens d’un pays est la pierre angulaire d’un gouvernement démocratique", a-t-il souligné.
L’atelier d’échanges sur l’observation citoyenne de l’enregistrement biométrique des électeurs qui se tient sur trois jours regroupe des représentants de la société civile de la Sierra Leone, du Ghana, du Malawi, de la Tanzanie, du Kenya, de la Guinée, du Sénégal, de la Zambie, de l’Ouganda, du Mali, du Zimbabwe et de la Côte d’Ivoire.
Des élections sont prévues pour se dérouler en 2014 et 2015 dans une vingtaine de pays africains.
En Côte d’Ivoire, des élections présidentielles sont prévues en octobre 2015 et une révision de la liste électorale a été annoncée par la Commission électorale indépendante (CEI).
"Bien faite, la biométrie peut faciliter l’éthique des inscriptions et contribuer à des élections crédibles et inclusives, cependant, mal maîtrisée, elle peut devenir un outil de manipulation, surtout avec le taux élevé d’analphabétisme" dans les pays africains, a déclaré le directeur Afrique du National democratic institute (NDI), Christopher Fomunyoh, initiateur du séminaire.
Il a relevé que l’administration des élections a évolué avec les technologies de l’information et de la communication, non sans insister que la biométrie est devenue "un instrument de choix" pour l’inscription des électeurs sur les listes électorales.
Les "élections mal organisées étant sources de conflits", Christopher Fomunyoh a invité les participants à tirer profit de la formation pour être "plus performants sur les chantiers des élections crédibles, apaisées et démocratiques pour permettre aux pays africains de poursuivre leur développement en paix".
"La conduite d’élections transparentes jugées comme libres et équitables par les citoyens d’un pays est la pierre angulaire d’un gouvernement démocratique", a-t-il souligné.
L’atelier d’échanges sur l’observation citoyenne de l’enregistrement biométrique des électeurs qui se tient sur trois jours regroupe des représentants de la société civile de la Sierra Leone, du Ghana, du Malawi, de la Tanzanie, du Kenya, de la Guinée, du Sénégal, de la Zambie, de l’Ouganda, du Mali, du Zimbabwe et de la Côte d’Ivoire.
Des élections sont prévues pour se dérouler en 2014 et 2015 dans une vingtaine de pays africains.
En Côte d’Ivoire, des élections présidentielles sont prévues en octobre 2015 et une révision de la liste électorale a été annoncée par la Commission électorale indépendante (CEI).