Abidjan - La plus grande société agro-industrielle ivoirienne SIFCA, exerçant dans le caoutchouc, le sucre et l'huile de palme, célèbre, cette année, ses cinquante années d'existence.
"En 2014, c'est notre cinquantenaire, c'est 50 d'engagement, 50 ans d'investissement, 50 ans de participation à la vie économique de la Côte d'Ivoire et de l'Afrique de l'Ouest", a affirmé, vendredi à Toupah (Dabou), le président du conseil d'administration du groupe SIFCA, Pierre Billon, à l'occasion d'un déjeuner de presse.
M. Billon qui présentait le parcours du groupe, une entreprise familiale, depuis 50 ans, a indiqué que son leitmotiv est l'investissement. Il a cité notamment l'investissement dans les hommes, dans les plantations industrielles, dans les plantations villageoises, dans les infrastructures industrielles, dans les infrastructures sociales ainsi que dans les produits innovants.
"L'année 2013 s'est achevée dans un contexte assez difficile", a relevé, en revanche, le président du conseil d'administration. Pierre Billon a souligné la baisse du pouvoir d'achat dans les filières, après 30 ans, une inflation grandissante, la fraude sur le sucre et l'huile de palme et une fiscalité défavorable.
Pour lui, le groupe a trois défis majeurs à relever, en 2014. Il s'agit, a-t-il soutenu, d'abord du défi de la croissance par l'augmentation des surfaces et du rendement, ensuite le défi de la qualité lié à la forte concurrence des pays asiatiques, et enfin, celui de l'innovation par la mise en place d'une unité de production d'électricité à partir de la biomasse, devant placer la Côte d'Ivoire parmi les pays africains producteurs de biomasse.
Le groupe SIFCA, fondé en 1964, est l'un des acteurs majeurs de l'agroindustrie en Afrique de l'Ouest. Avec un chiffre d'affaires de plus de 500 milliards de FCFA, le groupe est implanté dans six pays dont le Ghana, le Nigeria et le Libéria. Il intervient dans l'exploitation de plantations, la transformation et la commercialisation de l'huile végétale, du caoutchouc naturel et sucre de canne.
Premier employeur après l'Etat ivoirien, le groupe emploie plus de 27.000 personnes et dispose de dix filiales dans la sous-région.
"En 2014, c'est notre cinquantenaire, c'est 50 d'engagement, 50 ans d'investissement, 50 ans de participation à la vie économique de la Côte d'Ivoire et de l'Afrique de l'Ouest", a affirmé, vendredi à Toupah (Dabou), le président du conseil d'administration du groupe SIFCA, Pierre Billon, à l'occasion d'un déjeuner de presse.
M. Billon qui présentait le parcours du groupe, une entreprise familiale, depuis 50 ans, a indiqué que son leitmotiv est l'investissement. Il a cité notamment l'investissement dans les hommes, dans les plantations industrielles, dans les plantations villageoises, dans les infrastructures industrielles, dans les infrastructures sociales ainsi que dans les produits innovants.
"L'année 2013 s'est achevée dans un contexte assez difficile", a relevé, en revanche, le président du conseil d'administration. Pierre Billon a souligné la baisse du pouvoir d'achat dans les filières, après 30 ans, une inflation grandissante, la fraude sur le sucre et l'huile de palme et une fiscalité défavorable.
Pour lui, le groupe a trois défis majeurs à relever, en 2014. Il s'agit, a-t-il soutenu, d'abord du défi de la croissance par l'augmentation des surfaces et du rendement, ensuite le défi de la qualité lié à la forte concurrence des pays asiatiques, et enfin, celui de l'innovation par la mise en place d'une unité de production d'électricité à partir de la biomasse, devant placer la Côte d'Ivoire parmi les pays africains producteurs de biomasse.
Le groupe SIFCA, fondé en 1964, est l'un des acteurs majeurs de l'agroindustrie en Afrique de l'Ouest. Avec un chiffre d'affaires de plus de 500 milliards de FCFA, le groupe est implanté dans six pays dont le Ghana, le Nigeria et le Libéria. Il intervient dans l'exploitation de plantations, la transformation et la commercialisation de l'huile végétale, du caoutchouc naturel et sucre de canne.
Premier employeur après l'Etat ivoirien, le groupe emploie plus de 27.000 personnes et dispose de dix filiales dans la sous-région.