Dimbokro - Dans une conférence publique prononcée samedi au Centre hospitalier régional (CHR) de Dimbokro, le médecin-colonel Bleu Tiémoko de la Jeune Chambre internationale de Côte d'Ivoire a affirmé que, bien que n'étant quantifiable, l'accueil dans un hôpital a de nombreux avantages.
Après avoir défini les notions d'accueil et d'hôpital, le médecin-militaire a étalé les nombreux avantages d'un bon accueil.
"On a qu'une seule occasion de faire une bonne première impression. Cette meilleure impression passe par l'accueil ou ensemble de dispositions pour rendre agréable le séjour d'une ou de plusieurs personnes qui visitent un lieu.
L'hôpital qui est un établissement d'administration de soins doit être un lieu d'hospitalité, d'où l'importance d'un bon accueil", a expliqué le conférencier, par ailleurs sénateur de la JCI, sur le thème "L'accueil dans les hôpitaux".
S'appuyant sur une déclaration du professeur de médecine selon laquelle "L'accueil est la vitrine d'un hôpital", le sénateur Bleu a fait savoir que le bon accueil du patient ou du visiteur à l'hôpital est une manière de le rassurer. Il doit se faire à tous les niveaux, a-t-il ajouté.
Selon le sénateur Bleu Tiémoko, un bon accueil a de nombreux avantages, pour le malade, le personnel, l'hôpital et l'Etat.
Pour le malade, un bon accueil permet de passer de l'état de patient à celui de client, d'être rassuré, de s'exprimer mieux sur son état, de participer à l'autogestion de son état, ce qui facilite sa guérison.
Pour le personnel, l'abord du client est facilité, l'anamnèse (interrogatoire) du malade est bien conduite, la démarche diagnostic est aisée, le traitement mieux adapté. En outre, le personnel gagne une notoriété, il gagne du temps, de l'argent...
Quant à l'hôpital, il gagne la fidélisation des malades, l'amélioration du taux de fréquentation, une hausse des recettes, une amélioration du plateau technique avec à la clé un meilleur traitement du personnel (journalier).
Pour l'Etat, il s'agit de la baisse du taux d'absentéisme (les malades vite guéris reprennent le travail), une amélioration du rendement des services, une baisse des dépenses de santé, un accroissement du produit intérieur brut (Pib), etc.
"L'accueil n'est pas quantifiable dans un hôpital, mais il compte beaucoup", a conclu le conférencier.
Le médecin-colonel Bleu Tiémoko donnait cette conférence publique dans le cadre de la cérémonie de remise de kits hygiéniques à la maternité du Chr par l'OLM de Dimbokro.
(Aip)
Zgrp/kp
Après avoir défini les notions d'accueil et d'hôpital, le médecin-militaire a étalé les nombreux avantages d'un bon accueil.
"On a qu'une seule occasion de faire une bonne première impression. Cette meilleure impression passe par l'accueil ou ensemble de dispositions pour rendre agréable le séjour d'une ou de plusieurs personnes qui visitent un lieu.
L'hôpital qui est un établissement d'administration de soins doit être un lieu d'hospitalité, d'où l'importance d'un bon accueil", a expliqué le conférencier, par ailleurs sénateur de la JCI, sur le thème "L'accueil dans les hôpitaux".
S'appuyant sur une déclaration du professeur de médecine selon laquelle "L'accueil est la vitrine d'un hôpital", le sénateur Bleu a fait savoir que le bon accueil du patient ou du visiteur à l'hôpital est une manière de le rassurer. Il doit se faire à tous les niveaux, a-t-il ajouté.
Selon le sénateur Bleu Tiémoko, un bon accueil a de nombreux avantages, pour le malade, le personnel, l'hôpital et l'Etat.
Pour le malade, un bon accueil permet de passer de l'état de patient à celui de client, d'être rassuré, de s'exprimer mieux sur son état, de participer à l'autogestion de son état, ce qui facilite sa guérison.
Pour le personnel, l'abord du client est facilité, l'anamnèse (interrogatoire) du malade est bien conduite, la démarche diagnostic est aisée, le traitement mieux adapté. En outre, le personnel gagne une notoriété, il gagne du temps, de l'argent...
Quant à l'hôpital, il gagne la fidélisation des malades, l'amélioration du taux de fréquentation, une hausse des recettes, une amélioration du plateau technique avec à la clé un meilleur traitement du personnel (journalier).
Pour l'Etat, il s'agit de la baisse du taux d'absentéisme (les malades vite guéris reprennent le travail), une amélioration du rendement des services, une baisse des dépenses de santé, un accroissement du produit intérieur brut (Pib), etc.
"L'accueil n'est pas quantifiable dans un hôpital, mais il compte beaucoup", a conclu le conférencier.
Le médecin-colonel Bleu Tiémoko donnait cette conférence publique dans le cadre de la cérémonie de remise de kits hygiéniques à la maternité du Chr par l'OLM de Dimbokro.
(Aip)
Zgrp/kp