Yamoussoukro - Le président par intérim de l'association cotonnière d'Afrique (ACA) Cissoko Abdoulaye Salif a appelé, jeudi, à Yamoussoukro, les gouvernements africains, les organisations sous régionales et l'Union africaine à soutenir l'association cotonnière, afin qu’elle puisse améliorer la productivité et la compétitivité du coton africain.
Selon M. Cissoko, malgré l'importance socio-économique de la culture coton en Afrique, elle a traversé des moments très difficiles, et continue d’être vulnérable. '' Ces difficultés s'illustrent par l'effondrement spectaculaire de la production avec pour corolaire celui des revenus des cotonculteurs et la faillite de nombreuses sociétés d'égrenage'', a-t-il expliqué, jeudi à l'ouverture des 12è journées de l'association cotonnière africaine a Yamoussoukro.
Au nombre des causes, l'ACA évoque les « effets drastiques » du phénomène de changement climatique, a poursuivi le président par intérim de Cissoko A Salif
Il fait savoir en outre qu'un plan stratégique quinquennal 2011-2016, est actuellement en cours et pourrait contribuer à améliorer de manière substantielle, la production du coton africain.
Le coton africain représente un puissant instrument d'amélioration des indicateurs macro-économiques et de lutte contre l'insécurité alimentaire et la pauvreté. Il est l'un des principales sources de revenus des exploitations agricoles familiales du continent. Près de 25 millions d'Africains tirent une part plus ou moins importante de leurs ressources de la filière cotonnière indique-t-on.
Les 12è journées de l'ACA bénéficie du soutien de ses sponsors et partenaires au développement notamment l'Union européenne et la Banque mondiale.
(AIP)
nam/ask
Selon M. Cissoko, malgré l'importance socio-économique de la culture coton en Afrique, elle a traversé des moments très difficiles, et continue d’être vulnérable. '' Ces difficultés s'illustrent par l'effondrement spectaculaire de la production avec pour corolaire celui des revenus des cotonculteurs et la faillite de nombreuses sociétés d'égrenage'', a-t-il expliqué, jeudi à l'ouverture des 12è journées de l'association cotonnière africaine a Yamoussoukro.
Au nombre des causes, l'ACA évoque les « effets drastiques » du phénomène de changement climatique, a poursuivi le président par intérim de Cissoko A Salif
Il fait savoir en outre qu'un plan stratégique quinquennal 2011-2016, est actuellement en cours et pourrait contribuer à améliorer de manière substantielle, la production du coton africain.
Le coton africain représente un puissant instrument d'amélioration des indicateurs macro-économiques et de lutte contre l'insécurité alimentaire et la pauvreté. Il est l'un des principales sources de revenus des exploitations agricoles familiales du continent. Près de 25 millions d'Africains tirent une part plus ou moins importante de leurs ressources de la filière cotonnière indique-t-on.
Les 12è journées de l'ACA bénéficie du soutien de ses sponsors et partenaires au développement notamment l'Union européenne et la Banque mondiale.
(AIP)
nam/ask
