Le rendez-vous du secteur privé africain, AFRICA CEO FORUM 2014, a officiellement ouvert ses portes le lundi 17 mars 2014 à Genève. Cette rencontre est organisée par le Groupe Jeune Afrique, en partenariat avec la Banque Africaine de Développement (BAD).
Le Forum qui se tient sur trois jours regroupe environ 680 participants, intervenants et journalistes provenant de plus de 38 pays. Il se veut un espace de rapprochement des acteurs économiques des zones anglophones et francophones. Une approche d’actions pour faciliter le développement des échanges régionaux, favoriser le dialogue public‐privé afin de construire des fondamentaux favorables au développement de nouvelles activités et valoriser l’entrepreneuriat africain, accroître son audace et sa créativité. Pour le président de la Banque Africaine du Développement (BAD), Donald Kaberuka, «une chose est certaine et fait consensus chez tout le monde : la nécessité pour l’Afrique de progresser, pour s’insérer dans les chaînes de valeurs régionales et mondiales ». Et le AFRICA CEO FORUM 2014 « est une manière de faire passer l’Afrique de la désespérance à l’émergence puis à l’espoir », avec le concours de la BAD, a-t-il ajouté. Selon le Directeur général du Groupe Jeune Afrique et par ailleurs, président de cette rencontre internationale, Amir Ben Yahmed « l’année 2013 a été marquée par une nouvelle progression de 16% des investissements directs étrangers. Le FMI nous prédit une croissance globale de 6,5% pour l’année 2014. (…) Mais il ne faut pas faire abstraction du fait que la majorité des pays considérés comme les futurs locomotives de l’économie mondiale se transforment soudainement en maillons faibles. Alors, il faut prendre du recul et réfléchir ensemble sur les meilleurs moyens d’accélérer la transformation de notre continent ». Il a notamment fait savoir que l’attrait des investisseurs extérieurs, le développement du capital humain et du marché intérieur et la création d’emploi doivent être basés sur la compétitivité.
M.P.K.
Le Forum qui se tient sur trois jours regroupe environ 680 participants, intervenants et journalistes provenant de plus de 38 pays. Il se veut un espace de rapprochement des acteurs économiques des zones anglophones et francophones. Une approche d’actions pour faciliter le développement des échanges régionaux, favoriser le dialogue public‐privé afin de construire des fondamentaux favorables au développement de nouvelles activités et valoriser l’entrepreneuriat africain, accroître son audace et sa créativité. Pour le président de la Banque Africaine du Développement (BAD), Donald Kaberuka, «une chose est certaine et fait consensus chez tout le monde : la nécessité pour l’Afrique de progresser, pour s’insérer dans les chaînes de valeurs régionales et mondiales ». Et le AFRICA CEO FORUM 2014 « est une manière de faire passer l’Afrique de la désespérance à l’émergence puis à l’espoir », avec le concours de la BAD, a-t-il ajouté. Selon le Directeur général du Groupe Jeune Afrique et par ailleurs, président de cette rencontre internationale, Amir Ben Yahmed « l’année 2013 a été marquée par une nouvelle progression de 16% des investissements directs étrangers. Le FMI nous prédit une croissance globale de 6,5% pour l’année 2014. (…) Mais il ne faut pas faire abstraction du fait que la majorité des pays considérés comme les futurs locomotives de l’économie mondiale se transforment soudainement en maillons faibles. Alors, il faut prendre du recul et réfléchir ensemble sur les meilleurs moyens d’accélérer la transformation de notre continent ». Il a notamment fait savoir que l’attrait des investisseurs extérieurs, le développement du capital humain et du marché intérieur et la création d’emploi doivent être basés sur la compétitivité.
M.P.K.
