Les autorités sportives du Ghana ont décidé de renforcer le capital-moral de l’équipe nationale du Ghana, les Black Stars. 5 milliards de FCFA ont été décaissés comme Frais de concours pour le séjour des Black Stars au Brésil. Les Black Stars du Ghana méritent bien cela. Trois fois successivement à la Coupe du Monde, en Allemagne en 2006 et en Afrique du Sud en 2010, et puis au Brésil en 2014. Certes, pour l’heure, en matière de moral côté finance les Black Stars se portent bien. Ils ont d’énormes potentialités techniques pour se faire plaisir en juin prochain au Brésil. Le Ghana est une nation de football. Et déjà le pays se trouve à tous les rendez-vous du ballon-rond, dans toutes les compétitions : coupe d’Afrique des Nations, Coupe du Monde… Senior, Junior, Cadet. Avec quelques titres mondiaux et africains en junior et Cadet, le Ghana se hisse comme l’un des meilleures nations du football en Afrique. Le Ghana est partout. Le Ghana joue partout. La Fédération internationale de football association et ses experts, devraient surtout revoir “le classement FIFA”. Même si la fourchette des matches amicaux des Blacks Stars reste souvent faible. Partout, la rentabilité du Ghana sur les différents théâtres de compétitions africaines et mondiales est un succès.
Et puis, le Ghana connaît depuis longtemps, une forte succession de bons footballeurs : Baba Yara, Ossey Koffi, M’Fum, Abédi Pélé. Et ce marché de footballeurs ghanéen, n’a pas longtemps attendu pour envahir le “marché” européen. Le Ghana connait depuis plusieurs années le professionnalisme. Son football est ouvert sur la France, l’Italie, l’Allemagne, et quelques championnats arabes. Le football ghanéen se porte bien. Parce que la succession, ou la relève du football ghanéen, se fait par l’essor d’une classe de jeunes de 15 à 17 ans. Un tel football de vision, mérite un regard particulier de la Confédération Africaine de Football. 5 milliards FCFA pour le séjour des Black Stars, représente le prix d’un travail assidu des autorités sportives du Ghana. A ce jeu, les contribuables ghanéens ont tout à fait raison d’être exigeants pour la crédibilité et la qualité de leurs footballeurs. 5 milliards de FCFA, sont certainement très « bons » pour viser à nouveau les mêmes objectifs en Afrique du Sud, ou, rehausser la performance au Brésil. Selon les analystes du football ghanéen, les joueurs du Black Star peuvent réaliser l’exploit accompli en Afrique du Sud, accéder au quart de finale de la Coupe du Monde, et peut-être parvenir à la finale pour justifier leur bonne santé. Et à “l’émergence” pour devenir les champions du monde de football.
Ben Ismaël
Et puis, le Ghana connaît depuis longtemps, une forte succession de bons footballeurs : Baba Yara, Ossey Koffi, M’Fum, Abédi Pélé. Et ce marché de footballeurs ghanéen, n’a pas longtemps attendu pour envahir le “marché” européen. Le Ghana connait depuis plusieurs années le professionnalisme. Son football est ouvert sur la France, l’Italie, l’Allemagne, et quelques championnats arabes. Le football ghanéen se porte bien. Parce que la succession, ou la relève du football ghanéen, se fait par l’essor d’une classe de jeunes de 15 à 17 ans. Un tel football de vision, mérite un regard particulier de la Confédération Africaine de Football. 5 milliards FCFA pour le séjour des Black Stars, représente le prix d’un travail assidu des autorités sportives du Ghana. A ce jeu, les contribuables ghanéens ont tout à fait raison d’être exigeants pour la crédibilité et la qualité de leurs footballeurs. 5 milliards de FCFA, sont certainement très « bons » pour viser à nouveau les mêmes objectifs en Afrique du Sud, ou, rehausser la performance au Brésil. Selon les analystes du football ghanéen, les joueurs du Black Star peuvent réaliser l’exploit accompli en Afrique du Sud, accéder au quart de finale de la Coupe du Monde, et peut-être parvenir à la finale pour justifier leur bonne santé. Et à “l’émergence” pour devenir les champions du monde de football.
Ben Ismaël
