Abidjan - Le Président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Kacou Diagou a dénoncé, mardi, lors d’un rendez-vous de presse, à Abidjan, « la pression fiscale » qui est « trop forte » dans le pays.
Invité du « Press-Club » de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), le président du patronat ivoirien a indiqué que ces pressions fiscales sont « un repoussoir pour les investisseurs étrangers » qui ambitionnent d’investir dans le pays.
Comparativement à d’autres pays voisins, notamment, le Ghana, les investisseurs sont plus attirés à s’installer dans ces pays au lieu de venir en Côte d’Ivoire.
Selon M. Diagou, cette forte pression fiscale s’explique par « une recherche rapide de recettes » pour le financement des grands projets de l’Etat, alors que « le développement d’un pays se fait sur le long terme ».
Il préconise une baisse des taxes pour attirer les investisseurs qui vont créer de l’emploi et générer d’avantages d’impôts pour le pays.
« Plus on aura des entreprises, plus on aura des emplois et plus on aura des impôts pour l’Etat » a expliqué Jean Kacou Diagou.
Cette intervention du président de la CGECI a eu lieu autour du thème « la place du secteur privé ivoirien dans la réalisation des grands projets d’infrastructures du PND (plan national de développement 2012-2015) ».
La question des taxes est maintes fois soulevée par les entrepreneurs ivoiriens qui estiment qu’elles freinent leur élan d’entreprendre.
Dans la loi fiscale de l’année 2014, il a été procédé à l’augmentation des taxes sur certains services et produits notamment sur les télécommunications et sur l’alcool.
JBK/hs/ls/APA
Invité du « Press-Club » de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), le président du patronat ivoirien a indiqué que ces pressions fiscales sont « un repoussoir pour les investisseurs étrangers » qui ambitionnent d’investir dans le pays.
Comparativement à d’autres pays voisins, notamment, le Ghana, les investisseurs sont plus attirés à s’installer dans ces pays au lieu de venir en Côte d’Ivoire.
Selon M. Diagou, cette forte pression fiscale s’explique par « une recherche rapide de recettes » pour le financement des grands projets de l’Etat, alors que « le développement d’un pays se fait sur le long terme ».
Il préconise une baisse des taxes pour attirer les investisseurs qui vont créer de l’emploi et générer d’avantages d’impôts pour le pays.
« Plus on aura des entreprises, plus on aura des emplois et plus on aura des impôts pour l’Etat » a expliqué Jean Kacou Diagou.
Cette intervention du président de la CGECI a eu lieu autour du thème « la place du secteur privé ivoirien dans la réalisation des grands projets d’infrastructures du PND (plan national de développement 2012-2015) ».
La question des taxes est maintes fois soulevée par les entrepreneurs ivoiriens qui estiment qu’elles freinent leur élan d’entreprendre.
Dans la loi fiscale de l’année 2014, il a été procédé à l’augmentation des taxes sur certains services et produits notamment sur les télécommunications et sur l’alcool.
JBK/hs/ls/APA