Abidjan, Charles Blé Goudé, ex-leader des jeunes patriotes proches de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, fait sa première comparution, ce jeudi, devant le juge unique de la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye (Pays-Bas), où il a été transféré samedi.
Remis à la CPI par le gouvernement ivoirien à la CPI, en exécution d’un mandat d’arrêt délivré le 21 décembre 2011, M. Blé Goudé est soupçonné de quatre chefs de crimes contre l’humanité (meurtres, viols et autres violences sexuelles, actes de persécution et autres actes inhumains) dans les violences postélectorales survenues entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011 en Côte d’Ivoire.
Lors de cette première audience de première comparution, le suspect sera informé des charges portées à son encontre par le juge unique, qui vérifiera d’ailleurs son identité et la langue dans laquelle il pourra suivre les procédures.
Blé Goudé Charles, 42 ans, dont le mandat d’arrêt a été révélé le 30 novembre 2013, avait été arrêté en janvier de la même année au Ghana où il s’est exilé pendant la crise postélectorale. TExtradé par la justice ivoirienne, l’ex-président de la galaxie patriotique pro-Laurent Gbagbo, était jusque-là en résidence protégée à Abidjan.
(AIP)
tm
Remis à la CPI par le gouvernement ivoirien à la CPI, en exécution d’un mandat d’arrêt délivré le 21 décembre 2011, M. Blé Goudé est soupçonné de quatre chefs de crimes contre l’humanité (meurtres, viols et autres violences sexuelles, actes de persécution et autres actes inhumains) dans les violences postélectorales survenues entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011 en Côte d’Ivoire.
Lors de cette première audience de première comparution, le suspect sera informé des charges portées à son encontre par le juge unique, qui vérifiera d’ailleurs son identité et la langue dans laquelle il pourra suivre les procédures.
Blé Goudé Charles, 42 ans, dont le mandat d’arrêt a été révélé le 30 novembre 2013, avait été arrêté en janvier de la même année au Ghana où il s’est exilé pendant la crise postélectorale. TExtradé par la justice ivoirienne, l’ex-président de la galaxie patriotique pro-Laurent Gbagbo, était jusque-là en résidence protégée à Abidjan.
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