Korhogo - Quelque 40 relais communautaires de la Clinique juridique de Korhogo (Nord, région du Poro) renforcent leurs capacités, de mardi à jeudi, sur le vocabulaire et les procédures juridiques en diverses matières, afin d’offrir des prestations de qualité aux populations qui ont recours à leurs services.
Selon la responsable de la Clinique juridique de Korhogo, Mme Konan N’Bra, il s’agit de faire en sorte que les relais communautaires maîtrisent le processus d’acquisition des terres, connaissent le processus de la prise en charge médicale, psycho-sociale, juridique et judiciaire des violences basées sur le genre, notamment le viol et de savoir ce qu’est la justice transitionnelle en Côte d’Ivoire.
A l’ouverture de l’atelier, la représentante du président du tribunal de Korhogo, Mlle Akissi N’Cho, a salué le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, pour sa clairvoyance quant à la mise en place des cliniques juridiques qui permettent ainsi « la démystification des normes et procédures judiciaires » et réduisent « le fossé entre la justice et le justiciable ».
Les modules de cette formation porteront sur le processus d’acquisition de la propreté foncière rurale, la justice transitionnelle en Côte d’Ivoire, la prise en charge juridique et judiciaire d’une victime de viol, la prise en charge médicale d’une victime de viol et la prise en charge psycho-sociale d’une victime de viol.
L’ouverture des cliniques juridiques dans diverses régions de la Côte d’Ivoire, notamment à Korhogo s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (PALAJ).
Ce projet qui s’étend sur 23 mois va permettre à la population, surtout les personnes vulnérables, d’avoir un accès facile à la justice.
(AIP)
Apk/kkp/ask
Selon la responsable de la Clinique juridique de Korhogo, Mme Konan N’Bra, il s’agit de faire en sorte que les relais communautaires maîtrisent le processus d’acquisition des terres, connaissent le processus de la prise en charge médicale, psycho-sociale, juridique et judiciaire des violences basées sur le genre, notamment le viol et de savoir ce qu’est la justice transitionnelle en Côte d’Ivoire.
A l’ouverture de l’atelier, la représentante du président du tribunal de Korhogo, Mlle Akissi N’Cho, a salué le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, pour sa clairvoyance quant à la mise en place des cliniques juridiques qui permettent ainsi « la démystification des normes et procédures judiciaires » et réduisent « le fossé entre la justice et le justiciable ».
Les modules de cette formation porteront sur le processus d’acquisition de la propreté foncière rurale, la justice transitionnelle en Côte d’Ivoire, la prise en charge juridique et judiciaire d’une victime de viol, la prise en charge médicale d’une victime de viol et la prise en charge psycho-sociale d’une victime de viol.
L’ouverture des cliniques juridiques dans diverses régions de la Côte d’Ivoire, notamment à Korhogo s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (PALAJ).
Ce projet qui s’étend sur 23 mois va permettre à la population, surtout les personnes vulnérables, d’avoir un accès facile à la justice.
(AIP)
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