Le Mondial brésilien, prévu du 12 juin au 13 juillet prochain, sera-t-il celui de l'Afrique ? Jérôme Valke, le Secrétaire Général français de la Fédération internationale de football (Fifa) veut y croire. Il veut même qu'une sélection africaine joue la finale du tournoi. « Nous allons vous aider à progresser, et nous voulons que bientôt, une équipe africaine atteigne la finale de la Coupe du monde », a-t-il dit en marge du séminaire de la Fifa à l'attention des associations nationales anglo-lusophones membres de la Confédération africaine de football (Caf) qui s'est déroulé à Sandton, à Johannesburg (Afrique du sud).
Valke émet un tel souhait au moment où aucune sélection africaine n'a encore accédé au dernier carré de la compétition. Les meilleures performances du continent se limitent à ce jour à une place de quart finaliste avec le Cameroun (1990), le Sénégal (2002) et le Ghana (2010). Des performances qui leur ont valu cinq places au niveau de la représentation mondiale mais qui sont pour le moment insuffisantes. Le haut responsable de la Fifa s'est montré très déterminé à aider l'Afrique à développer son football. « Nous allons tout faire pour que le football africain puisse progresser et se développer, professionnaliser vos championnats, développer le football de base pour tous ceux qui veulent jouer au football en Afrique », a-t-il laissé entendre. On peut le dire, à Sandton, un nouveau soleil s'est levé sur le football africain et Valke qui s'est montré le meilleur ambassadeur de ce football pour les joutes mondiales à venir s'est surtout en avocat inflexible de l'édifice dirigée par Joseph Blatter, très critiquée ces temps-ci. "A tous ceux qui doutent ou qui nous critiquent, je peux dire que la FIFA fait beaucoup de choses et les fait très bien. Nous avons une organisation plus forte, et le football est fort. Tous les engagements que nous prenons, nous les prenons pour vous, en termes de soutien au développement, et nous pouvons les garantir jusqu’en 2022", a-t-il soutenu.
Litié BOAGNON
Valke émet un tel souhait au moment où aucune sélection africaine n'a encore accédé au dernier carré de la compétition. Les meilleures performances du continent se limitent à ce jour à une place de quart finaliste avec le Cameroun (1990), le Sénégal (2002) et le Ghana (2010). Des performances qui leur ont valu cinq places au niveau de la représentation mondiale mais qui sont pour le moment insuffisantes. Le haut responsable de la Fifa s'est montré très déterminé à aider l'Afrique à développer son football. « Nous allons tout faire pour que le football africain puisse progresser et se développer, professionnaliser vos championnats, développer le football de base pour tous ceux qui veulent jouer au football en Afrique », a-t-il laissé entendre. On peut le dire, à Sandton, un nouveau soleil s'est levé sur le football africain et Valke qui s'est montré le meilleur ambassadeur de ce football pour les joutes mondiales à venir s'est surtout en avocat inflexible de l'édifice dirigée par Joseph Blatter, très critiquée ces temps-ci. "A tous ceux qui doutent ou qui nous critiquent, je peux dire que la FIFA fait beaucoup de choses et les fait très bien. Nous avons une organisation plus forte, et le football est fort. Tous les engagements que nous prenons, nous les prenons pour vous, en termes de soutien au développement, et nous pouvons les garantir jusqu’en 2022", a-t-il soutenu.
Litié BOAGNON
