Doudou Diène, Expert indépendant des Nations-unies sur les droits de l’homme en Côte d’Ivoire, selon Apa, a estimé samedi dernier que le cas de l’ex-Première dame ivoirienne, Simone Ehivet Gbagbo devait être "réglé" avant les élections présidentielles de 2015. Selon lui, il est capital que le cas de Simone Gbagbo soit réglé avant les élections de 2015 (...) car , dira-t-il , il est "absolument urgent que ces élections soient apaisées et crédibles". Toutefois, Doudou Diène qui a présenté son rapport sur la Côte d’Ivoire le 25 mars dernier a relevé que la situation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire s’est améliorée d’une manière générale.
Lors de sa derrière visite en février dernier en Côte d’Ivoire, il avait relevé l’importance de "juger les détenus" de la crise post électorale qui a fait plus de 3000 morts.
Pour le gouvernement, la justice ivoirienne est désormais en mesure d’assurer un "procès juste et équitable" à Simone Gbagbo, d’où la décision prise récemment de ne pas la transférer à la Cour pénale internationale (CPI).
Selon le mandat émis par cette juridiction internationale, le 29 février 2012, la compagne de l’ex-président Gbagbo pouvait être poursuivie, à l’instar de son mari, pour crimes contre l’humanité après les violences postélectorales de 2010-2011. Depuis avril 2011, Mme Gbagbo est détenue à Odiénné.
Lors de sa derrière visite en février dernier en Côte d’Ivoire, il avait relevé l’importance de "juger les détenus" de la crise post électorale qui a fait plus de 3000 morts.
Pour le gouvernement, la justice ivoirienne est désormais en mesure d’assurer un "procès juste et équitable" à Simone Gbagbo, d’où la décision prise récemment de ne pas la transférer à la Cour pénale internationale (CPI).
Selon le mandat émis par cette juridiction internationale, le 29 février 2012, la compagne de l’ex-président Gbagbo pouvait être poursuivie, à l’instar de son mari, pour crimes contre l’humanité après les violences postélectorales de 2010-2011. Depuis avril 2011, Mme Gbagbo est détenue à Odiénné.