Abidjan - Une experte américaine en transaction d'art, Elaine Belleza, panéliste à la première édition du Marché ivoirien de l’artisanat (MIVA), a animé vendredi, une communication sur "Le réseau des acheteurs professionnels et l’accès aux marchés des produits artisanaux ", au cours duquel six acheteurs professionnels se sont joints à elle pour instruire les artisans sur les conditions d’accès aux marchés internationaux.
" Après plus de vingt ans d’expérience ce que je peux dire aux artisans, c’est qu’en premier lieu, il faut avoir un bon produit, ensuite, il faut que ce produit soit à bon prix et tertio il faut avoir un produit qui peut réellement intéresser l’acheteur parce que vendable", a expliqué Mme Belleza.
Selon elle, l’artisan ne doit pas voir l’acheteur professionnel comme un concurrent mais plutôt comme un partenaire qui veut établir un "partenariat gagnant-gagnant".
Les six acheteurs professionnels venus de l’Europe , des Etats-Unis et de l’Afrique ont expliqué aux artisans les caractéristiques des produits qui peuvent les intéresser au niveau du textile, des bijoux, de la poterie, de la maroquinerie et la vannerie.
Les artisans, au terme de cette rencontre ont été appelés à innover, à présenter des produits "plus contemporains et plus diversifiés".
La première édition du MIVA ouverte lundi, s’achève dimanche. Elle se tient au Palais des Sports de Treichville sur le thème "Promotion de l’innovation et de l’excellence des produits de l’artisanat africain", et est animée entre autres, d’une exposition de quelque 500 artisans sur un espace de 1600 m2, de panels et ateliers de formation des artisans, de rencontres B to B entre exposants et acheteurs professionnels et d’une cérémonie de distinction des lauréats qui aura lieu samedi soir.
Le MIVA vise à valoriser les produits de l’artisanat et à instaurer un espace d’expression, de rencontres et de cohésion sociale entre tous les créateurs et les professionnels du secteur de l’artisanat de toutes les régions du monde intéressés par cette activité.
(AIP)
amak/ask
" Après plus de vingt ans d’expérience ce que je peux dire aux artisans, c’est qu’en premier lieu, il faut avoir un bon produit, ensuite, il faut que ce produit soit à bon prix et tertio il faut avoir un produit qui peut réellement intéresser l’acheteur parce que vendable", a expliqué Mme Belleza.
Selon elle, l’artisan ne doit pas voir l’acheteur professionnel comme un concurrent mais plutôt comme un partenaire qui veut établir un "partenariat gagnant-gagnant".
Les six acheteurs professionnels venus de l’Europe , des Etats-Unis et de l’Afrique ont expliqué aux artisans les caractéristiques des produits qui peuvent les intéresser au niveau du textile, des bijoux, de la poterie, de la maroquinerie et la vannerie.
Les artisans, au terme de cette rencontre ont été appelés à innover, à présenter des produits "plus contemporains et plus diversifiés".
La première édition du MIVA ouverte lundi, s’achève dimanche. Elle se tient au Palais des Sports de Treichville sur le thème "Promotion de l’innovation et de l’excellence des produits de l’artisanat africain", et est animée entre autres, d’une exposition de quelque 500 artisans sur un espace de 1600 m2, de panels et ateliers de formation des artisans, de rencontres B to B entre exposants et acheteurs professionnels et d’une cérémonie de distinction des lauréats qui aura lieu samedi soir.
Le MIVA vise à valoriser les produits de l’artisanat et à instaurer un espace d’expression, de rencontres et de cohésion sociale entre tous les créateurs et les professionnels du secteur de l’artisanat de toutes les régions du monde intéressés par cette activité.
(AIP)
amak/ask
