Les 29 compagnies d’assurances exerçant sur le marché ivoirien ont réalisé un chiffre d’affaires de 236 milliards FCFA fin décembre 2013 contre 209 milliards FCFA fin 2012. Au cours de l’assemblée générale de l’Association des sociétés d’assurance de Côte d’Ivoire (Asaci), mercredi, à son siège de Cocody, le président de ce regroupement, Johnson Boa Roger, a indiqué que ce chiffre représente une progression de 12,8%. Il est reparti dans de l’assurance non vie pour 132 milliards FCFA et l’assurance-vie pour 103,8 milliards FCFA. Dans ces chiffres, la santé compte pour 35,2 milliards FCFA, soit 92,9% de la branche non vie. D’où la proposition du président de l’Asaci de faire des réglages en vue d’assurer une cohérence entre la couverture maladie universelle et l’assurance privée qui deviendra complémentaire.
Quant aux paiements des prestations payées, il ressort du rapport d’activités du président de l’Asaci que 72,8 milliards FCFA ont été payés en 2013 contre 115,6 milliards FCFA en 2012. Soit une baisse de 37%. «J’attire votre attention sur la nécessité de faire face à nos engagements. Nous devons payer les sinistres dus à bonne date, surtout en assurance automobile. Le comportement de certains d’entre nous contribue à écorner l’image de notre profession. Tous nos partenaires, courtiers, agents généraux et même les associations de consommateurs attirent notre attention sur cette situation qui n’honore pas notre marché et notre profession», a-t-il interpellé ses pairs.
Bruno KOUADIO
Quant aux paiements des prestations payées, il ressort du rapport d’activités du président de l’Asaci que 72,8 milliards FCFA ont été payés en 2013 contre 115,6 milliards FCFA en 2012. Soit une baisse de 37%. «J’attire votre attention sur la nécessité de faire face à nos engagements. Nous devons payer les sinistres dus à bonne date, surtout en assurance automobile. Le comportement de certains d’entre nous contribue à écorner l’image de notre profession. Tous nos partenaires, courtiers, agents généraux et même les associations de consommateurs attirent notre attention sur cette situation qui n’honore pas notre marché et notre profession», a-t-il interpellé ses pairs.
Bruno KOUADIO