Un atelier sur la documentation des "meilleures pratiques" pour la santé maternelle et infantile s’est ouvert, lundi, à la salle de conférence de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), afin d’analyser, valider et diffuser "les bonnes pratiques" en santé mère-enfant.
A l’initiative du fond français "Muskoka", cet atelier réunit 21 représentants des directions régionales de la santé, des programmes de santé et des organismes internationaux tels que l'OMS, le Fonds des Nations-Unies pour la population (UNFPA), le Fonds des Nations-unies pour l'enfance (UNICEF) et ONUFEMMES.
Selon le représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Allarangar Yokouidé, cet atelier permettra aux responsables politiques, aux professionnels de la santé, aux communautés et aux partenaires au développement de "découvrir, d’exploiter et mettre en commun les connaissances tirées de leur expériences sur les pratiques qui marchent bien" dans le domaine de la santé maternelle et infantile.
Précisant que "les meilleurs pratiques" sont des techniques ou des méthodes qui par expérience ou par la recherche se sont avérées fiables pour atteindre un résultat escompté, il a souhaité que les résolutions de l’atelier pourront "booster la mise en œuvre des interventions à haut impact dans le but d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) liés à la santé".
Pour le représentant du ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, le directeur de la santé communautaire et de la promotion de la médecine traditionnelle, Dr David Assaouré, l’adoption de ces bonnes pratiques assurera "un mieux être de la population en générale et du couple mère-enfant en particulier".
Les experts plancheront jusqu'à mercredi sur le dépistage actif communautaire de la malnutrition, la réorganisation des services de la santé reproductive, l’accueil dans les maternités, la visite médicale systématique dans les établissements scolaires.
tad/ask
A l’initiative du fond français "Muskoka", cet atelier réunit 21 représentants des directions régionales de la santé, des programmes de santé et des organismes internationaux tels que l'OMS, le Fonds des Nations-Unies pour la population (UNFPA), le Fonds des Nations-unies pour l'enfance (UNICEF) et ONUFEMMES.
Selon le représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Allarangar Yokouidé, cet atelier permettra aux responsables politiques, aux professionnels de la santé, aux communautés et aux partenaires au développement de "découvrir, d’exploiter et mettre en commun les connaissances tirées de leur expériences sur les pratiques qui marchent bien" dans le domaine de la santé maternelle et infantile.
Précisant que "les meilleurs pratiques" sont des techniques ou des méthodes qui par expérience ou par la recherche se sont avérées fiables pour atteindre un résultat escompté, il a souhaité que les résolutions de l’atelier pourront "booster la mise en œuvre des interventions à haut impact dans le but d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) liés à la santé".
Pour le représentant du ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, le directeur de la santé communautaire et de la promotion de la médecine traditionnelle, Dr David Assaouré, l’adoption de ces bonnes pratiques assurera "un mieux être de la population en générale et du couple mère-enfant en particulier".
Les experts plancheront jusqu'à mercredi sur le dépistage actif communautaire de la malnutrition, la réorganisation des services de la santé reproductive, l’accueil dans les maternités, la visite médicale systématique dans les établissements scolaires.
tad/ask