Abidjan - La coalition de l’opposition ivoirienne, baptisée l’Alliance des forces démocratiques et dont fait partie le Front populaire ivoirien (FPI, ex-parti au pouvoir) se réunit, mercredi à Abidjan, pour faire des propositions au gouvernement allant dans le sens d’un « consensus » autour de la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI).
Pour l’opposition significative ivoirienne menée par le FPI, la nouvelle CEI dont la réforme a été annoncée la semaine dernière par le gouvernement doit encore être soumise au débat et au vote du Parlement.
« L’initiative a été prise de façon solitaire par le gouvernement, sans consulter l’opposition », dénonce le 2ème vice-président de l’Alliance des forces démocratiques, Daniel Aka Ahizi par ailleurs, président du Parti ivoirien des travailleurs (PIT).
« Les éléments qui apparaissent dans le texte ne nous conviennent pas (…) Nous avons des propositions pour faire avancer ce texte dans le sens du consensus », ajoute-t-il.
En attendant les recommandations de la réunion de mercredi, des sources persistantes indiquent dans la capitale économique ivoirienne que les partisans de l’ancien Chef de l’Etat Laurent Gbagbo, proposent une CEI de 15 membres selon la clef de répartition suivante : quatre membres pour le pouvoir, quatre pour l’opposition, quatre pour la société civile.
L’opposition propose également trois représentants des ministères techniques, mais qui soient privés du droit de délibération.
Le gouvernement ivoirien a adopté la semaine dernière un projet de loi sur la mise sur pied de la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) qui passe de 31 membres à 13.
Dans ce projet de loi, la nouvelle CEI est composée de trois représentants du pouvoir, trois représentants de l’opposition, quatre représentants des structures techniques et trois représentants de la société civile.
Cette réforme que tous les acteurs politiques de l’opposition et de la société civile avaient pourtant réclamée depuis longtemps, a été dénoncée par le Front populaire ivoirien (FPI) et ses alliés.
LS/hs/APA
Pour l’opposition significative ivoirienne menée par le FPI, la nouvelle CEI dont la réforme a été annoncée la semaine dernière par le gouvernement doit encore être soumise au débat et au vote du Parlement.
« L’initiative a été prise de façon solitaire par le gouvernement, sans consulter l’opposition », dénonce le 2ème vice-président de l’Alliance des forces démocratiques, Daniel Aka Ahizi par ailleurs, président du Parti ivoirien des travailleurs (PIT).
« Les éléments qui apparaissent dans le texte ne nous conviennent pas (…) Nous avons des propositions pour faire avancer ce texte dans le sens du consensus », ajoute-t-il.
En attendant les recommandations de la réunion de mercredi, des sources persistantes indiquent dans la capitale économique ivoirienne que les partisans de l’ancien Chef de l’Etat Laurent Gbagbo, proposent une CEI de 15 membres selon la clef de répartition suivante : quatre membres pour le pouvoir, quatre pour l’opposition, quatre pour la société civile.
L’opposition propose également trois représentants des ministères techniques, mais qui soient privés du droit de délibération.
Le gouvernement ivoirien a adopté la semaine dernière un projet de loi sur la mise sur pied de la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) qui passe de 31 membres à 13.
Dans ce projet de loi, la nouvelle CEI est composée de trois représentants du pouvoir, trois représentants de l’opposition, quatre représentants des structures techniques et trois représentants de la société civile.
Cette réforme que tous les acteurs politiques de l’opposition et de la société civile avaient pourtant réclamée depuis longtemps, a été dénoncée par le Front populaire ivoirien (FPI) et ses alliés.
LS/hs/APA