Bouaké, De la viande boucanée d’agouti, de biche, de rat (...), saisie par les éléments des Eaux et Forêts, dans le cadre des mesures de prévention de la fièvre Ebola, a été incinérée, mercredi, à Bouaké, en présence des autorités locales.
Le préfet de la région de Gbèkè, préfet du département de Bouaké, M. Aka Konin, a indiqué que "c’est un signal fort pour montrer à la population que le gouvernement n’hésite pas et qu’il veut aller jusqu’au bout, c’est-à-dire qu’il fait tout ce qui est possible afin que la fièvre Ebola n’entre pas en Côte d’Ivoire".
"Actuellement, le seul médicament à la disposition du gouvernement c’est la sensibilisation", a-t-il ajouté, invitant les populations à observer les mesures de prévention et à ne plus penser à leur intérêt personnel.
Le chef du cantonnement des Eaux et Forêts, le capitaine Kouakou Jules, qui a fait la saisie avec ses collègues chez des revendeuses du marché, suite à une information anonyme, a traduit la détermination des agents à "sévir" sur le terrain jusqu’à nouvel ordre.
Il a prévenu qu’ils profiteront de cette situation pour "traquer" tous ceux qui ne veulent pas respecter les mesures d’interdiction de la chasse en vigueur depuis 1974 en Côte d’Ivoire.
(AIP)
nbf/kkp/as
Le préfet de la région de Gbèkè, préfet du département de Bouaké, M. Aka Konin, a indiqué que "c’est un signal fort pour montrer à la population que le gouvernement n’hésite pas et qu’il veut aller jusqu’au bout, c’est-à-dire qu’il fait tout ce qui est possible afin que la fièvre Ebola n’entre pas en Côte d’Ivoire".
"Actuellement, le seul médicament à la disposition du gouvernement c’est la sensibilisation", a-t-il ajouté, invitant les populations à observer les mesures de prévention et à ne plus penser à leur intérêt personnel.
Le chef du cantonnement des Eaux et Forêts, le capitaine Kouakou Jules, qui a fait la saisie avec ses collègues chez des revendeuses du marché, suite à une information anonyme, a traduit la détermination des agents à "sévir" sur le terrain jusqu’à nouvel ordre.
Il a prévenu qu’ils profiteront de cette situation pour "traquer" tous ceux qui ne veulent pas respecter les mesures d’interdiction de la chasse en vigueur depuis 1974 en Côte d’Ivoire.
(AIP)
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