La Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire et le Cabinet PricewaterhouseCoopers, ont organisé le Mercredi 16 Avril 2014, une rencontre d’échange sur les opportunités qu’offrent les modes de financement alternatif.
Selon M. Andrei UGAROV, Directeur Corporate Finance chez PWC, l’Afrique ne présente plus de risque, il est plus risqué de ne pas investir en Afrique que d’investir en Afrique. Pour lui, le contient est devenu un Intérêt stratégique. D’autant plus qu’aujourd’hui il existe plus de financement que de projets crédibles.
Les secteurs de la santé, l’agriculture, les télécom ont un besoin d’investissement colossal et attire les fonds. L’histoire des fonds d’investissement a commencé en Afrique depuis les années 1990 dans les pays Anglophones que sont l’Afrique du Sud en suite le Nigeria et le Ghana. Désormais les pays francophones sont dans la course et sont en passe de refaire leur retard.
Le niveau de crédit accordé aux entreprises est certes en hausse, +23% soit 550 milliards FCFA (chiffres APBEF-CI), mais le concours des fonds d’investissement s’avère indispensable pour une simple raison opérationnelle. Ceci, dans la mesure où le mode de fonctionnement des fonds d’investissements fournit de multiples avantages non compris dans l’offre traditionnelle des banques. Ainsi, les fonds ne prêtent pas d’argent, puisqu’ils financent la croissance de l’entreprise part une prise de participation allant de 20% à 50%. Ce qui les expose aux mêmes risques que l’entrepreneur.
Plusieurs autres explications ont été données. Notamment la capacité des fonds d’investissement à aider l’entreprise dans l’extension de son offre, la transparence dans la gestion, etc. Il est revenu que l’un des critères importants pour bénéficier des financements des fonds d’investissement est le taux de rentabilité de l’entreprise. Un taux qui doit avoisiner les 25 %. Aussi, la qualité du management constitue-t-elle un élément primordial des critères de sélection des entreprises candidates au financement des fonds d’investissement. Les fonds en question ne reste dans le capital d’une entreprise que sur 5 ou 7 ans, après, ils sortent du capital soit, à travers la bourse ou en cédant ses parts à un autre fonds ou tout simplement en les revendant à un investisseurs tiers. Pour éviter tout malentendu ou conflit d’intérêt, il est recommandé que les entreprises qui veulent bénéficier d’un financement de la part des fonds d’investissement, aient préalablement recours à un conseil.
Cette rencontre a bénéficié de la présence et de l’expertise de M. OUATTARA Lakoun, Directeur Général de la CGECI, modérateur et de messieurs Andrei UGAROV Directeur Corporate Finance, Yann ASSOR et Coulibaly Souleymane de chez PWC.
Les fonds aujourd’hui en service en Afrique Francophone sont : ACP ; Afraaj group ; Actis ; AfriInvest ; Amethis ; Propaco, Ifc Hellios.
Selon M. Andrei UGAROV, Directeur Corporate Finance chez PWC, l’Afrique ne présente plus de risque, il est plus risqué de ne pas investir en Afrique que d’investir en Afrique. Pour lui, le contient est devenu un Intérêt stratégique. D’autant plus qu’aujourd’hui il existe plus de financement que de projets crédibles.
Les secteurs de la santé, l’agriculture, les télécom ont un besoin d’investissement colossal et attire les fonds. L’histoire des fonds d’investissement a commencé en Afrique depuis les années 1990 dans les pays Anglophones que sont l’Afrique du Sud en suite le Nigeria et le Ghana. Désormais les pays francophones sont dans la course et sont en passe de refaire leur retard.
Le niveau de crédit accordé aux entreprises est certes en hausse, +23% soit 550 milliards FCFA (chiffres APBEF-CI), mais le concours des fonds d’investissement s’avère indispensable pour une simple raison opérationnelle. Ceci, dans la mesure où le mode de fonctionnement des fonds d’investissements fournit de multiples avantages non compris dans l’offre traditionnelle des banques. Ainsi, les fonds ne prêtent pas d’argent, puisqu’ils financent la croissance de l’entreprise part une prise de participation allant de 20% à 50%. Ce qui les expose aux mêmes risques que l’entrepreneur.
Plusieurs autres explications ont été données. Notamment la capacité des fonds d’investissement à aider l’entreprise dans l’extension de son offre, la transparence dans la gestion, etc. Il est revenu que l’un des critères importants pour bénéficier des financements des fonds d’investissement est le taux de rentabilité de l’entreprise. Un taux qui doit avoisiner les 25 %. Aussi, la qualité du management constitue-t-elle un élément primordial des critères de sélection des entreprises candidates au financement des fonds d’investissement. Les fonds en question ne reste dans le capital d’une entreprise que sur 5 ou 7 ans, après, ils sortent du capital soit, à travers la bourse ou en cédant ses parts à un autre fonds ou tout simplement en les revendant à un investisseurs tiers. Pour éviter tout malentendu ou conflit d’intérêt, il est recommandé que les entreprises qui veulent bénéficier d’un financement de la part des fonds d’investissement, aient préalablement recours à un conseil.
Cette rencontre a bénéficié de la présence et de l’expertise de M. OUATTARA Lakoun, Directeur Général de la CGECI, modérateur et de messieurs Andrei UGAROV Directeur Corporate Finance, Yann ASSOR et Coulibaly Souleymane de chez PWC.
Les fonds aujourd’hui en service en Afrique Francophone sont : ACP ; Afraaj group ; Actis ; AfriInvest ; Amethis ; Propaco, Ifc Hellios.