Grand Bassam - Un atelier de validation de l’étude de faisabilité de la mise en place d’un fonds de garantie sur la libre circulation des personnes et des biens au niveau du corridor Abidjan-Lagos a été ouvert, mercredi, à Grand Bassam.
Ce projet est financé à hauteur de 74 milliards FCFA (148 millions de dollars) dont 45 milliards FCFA (90 millions de dollars) de l’association internationale de développement (AID) et 29 milliards FCFA (58 millions de dollars) de fonds de contrepartie.
La rencontre de Grand Bassam vise à informer les parties prenantes au transit de marchandises, des résultats de l’étude de faisabilité, discuter de l’engagement de toutes les parties et des partenaires au développement à œuvrer à la mise en œuvre de ce fonds et planifier les prochaines étapes des recommandations de cette étude.
Ce corridor qui draine plus de 65% des activités économiques de l’espace CEDEAO constitue le poumon économique de la sous-région, selon M. DIOUF IBOU chargé de projet de la Banque mondiale.
Les participants ont présenté le rapport du consultant, levé toutes les contraintes liées à la mise en place du fonds de garantie. Pour le colonel N’Guetta Say, représentant Ministre auprès du Premier Ministre, chargé de l’Economie et des Finances, "la revitalisation des marchandises en transit permettra d’améliorer le temps de séjour dans l’enceinte du port d’Abidjan et le passage des camions de marchandises au poste frontalier de Noé-Elubo".
Cet atelier a pris fin, ce jeudi.
(AIP)
ko/ask
Ce projet est financé à hauteur de 74 milliards FCFA (148 millions de dollars) dont 45 milliards FCFA (90 millions de dollars) de l’association internationale de développement (AID) et 29 milliards FCFA (58 millions de dollars) de fonds de contrepartie.
La rencontre de Grand Bassam vise à informer les parties prenantes au transit de marchandises, des résultats de l’étude de faisabilité, discuter de l’engagement de toutes les parties et des partenaires au développement à œuvrer à la mise en œuvre de ce fonds et planifier les prochaines étapes des recommandations de cette étude.
Ce corridor qui draine plus de 65% des activités économiques de l’espace CEDEAO constitue le poumon économique de la sous-région, selon M. DIOUF IBOU chargé de projet de la Banque mondiale.
Les participants ont présenté le rapport du consultant, levé toutes les contraintes liées à la mise en place du fonds de garantie. Pour le colonel N’Guetta Say, représentant Ministre auprès du Premier Ministre, chargé de l’Economie et des Finances, "la revitalisation des marchandises en transit permettra d’améliorer le temps de séjour dans l’enceinte du port d’Abidjan et le passage des camions de marchandises au poste frontalier de Noé-Elubo".
Cet atelier a pris fin, ce jeudi.
(AIP)
ko/ask
