Les perspectives des pays membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) sont soumises à des risques baissiers modérés, selon un récent rapport du Fonds monétaire international (FMI) dont APA a obtenu copie.
Dans ce document intitulé ‘’Rapport des services du FMI sur les politiques communes des Etats membres de l’UEMOA’’, le FMI note que les principaux risques sont ceux que posent l’instabilité et les problèmes de sécurité ainsi que des retards dans la réalisation d’investissements et de réformes générateurs de croissance au niveau tant national que régional’’.
Selon le FMI, ces deux facteurs nuiraient à la croissance et auraient ainsi des conséquences défavorables sur la réduction de la pauvreté et la viabilité budgétaire.
‘’Un recul de la croissance aussi bien dans les économies émergentes que les économies avancées, toucherait les échanges, les envois de fonds, l’aide extérieur et l’investissement direct’’, avancent les auteurs du rapport.
Ils ajoutent que cela pourrait influer également sur les prix des produits de base, ce qui aurait un effet important sur les économies de l’UEMOA. Selon toujours le FMI, les pays de la zone qui envisagent de se tourner vers les marchés internationaux en 2014 pourraient être confrontés à des coûts de financement plus élevés si l’abandon de la politique monétaire non conventionnelle donnait lieu à une plus grande volatilité des marchés financiers mondiaux.
Le rapport du FMI qui date de mars 2014, a été élaboré à l’issue d’entretiens qui ont pris fin le 24 janvier 2014 avec les responsables des institutions régionales de l’UEMOA.
Il entre dans le cadre de la surveillance régionale réalisée périodiquement auprès de l’UEMOA.
MS/cat/APA
Dans ce document intitulé ‘’Rapport des services du FMI sur les politiques communes des Etats membres de l’UEMOA’’, le FMI note que les principaux risques sont ceux que posent l’instabilité et les problèmes de sécurité ainsi que des retards dans la réalisation d’investissements et de réformes générateurs de croissance au niveau tant national que régional’’.
Selon le FMI, ces deux facteurs nuiraient à la croissance et auraient ainsi des conséquences défavorables sur la réduction de la pauvreté et la viabilité budgétaire.
‘’Un recul de la croissance aussi bien dans les économies émergentes que les économies avancées, toucherait les échanges, les envois de fonds, l’aide extérieur et l’investissement direct’’, avancent les auteurs du rapport.
Ils ajoutent que cela pourrait influer également sur les prix des produits de base, ce qui aurait un effet important sur les économies de l’UEMOA. Selon toujours le FMI, les pays de la zone qui envisagent de se tourner vers les marchés internationaux en 2014 pourraient être confrontés à des coûts de financement plus élevés si l’abandon de la politique monétaire non conventionnelle donnait lieu à une plus grande volatilité des marchés financiers mondiaux.
Le rapport du FMI qui date de mars 2014, a été élaboré à l’issue d’entretiens qui ont pris fin le 24 janvier 2014 avec les responsables des institutions régionales de l’UEMOA.
Il entre dans le cadre de la surveillance régionale réalisée périodiquement auprès de l’UEMOA.
MS/cat/APA