Abidjan – La fraude sur les jeux de hasard en Côte d’Ivoire représente un préjudice de près de six milliards de FCFA par année pour la loterie nationale de Côte d’Ivoire (LONACI), a déclaré, mercredi, son directeur général adjoint, Dramane Coulibaly.
« C’est à peu près six milliards de FCFA que nous perdons dans la pratique de ces jeux illicites », a estimé le directeur général adjoint qui faisait le point de la lutte contre les jeux illicites engagée par la LONACI.
Du 06 avril au 14 avril 2014, les plaintes portées par la LONACI auprès de la justice ont abouti à l’arrestation de plusieurs fraudeurs au nombre de 27 personnes dont 13 condamnés à des peines prison. Ils s’adonnaient à la pratique de jeux illicites notamment « Petits poteaux », une forme de pari mutuel urbain (PMU) et le loto ghanéen.
« Nous estimons à près de deux milliards de perte en ce qui concerne seulement le « Petits poteaux », a soutenu M. Coulibaly indiquant qu’à cela s’ajoutent les quatre milliards du loto ghanéen.
Il a indiqué que les enquêtes ont révélé que pour la seule zone de San Pédro, le préjudice subi est de 100.000FCFA par vendeurs et deux millions de F par jours, soit environ 750 millions par an.
« La lutte contre les jeux illicites engage toute la Côte d’Ivoire. Il s’agit d’affirmer ensemble le principe de la nécessité d’inscrire toute activité économique dans le cadre du respect de la loi », a souligné le directeur général adjoint qui a interpellé « tous ceux qui s’adonnent à ces jeux illicites ».
Selon lui, l’ambition de la LONACI est de faire toujours plus de social au profit des populations ivoiriennes. « Cela n’est possible que si l’entreprise continue sa croissance tirée par le succès des jeux qu’elle propose au grand public », a-t-il soutenu.
Plusieurs textes législatifs et réglementaires le monopole de la LONACI en matière de jeu de hasard et d’interdire les jeux illicites sous toutes ses formes sur le territoire national. Malheureusement, différentes formes de jeux illégaux sont répandues notamment « Petits poteaux », le loto ghanéen et les paris sportifs sur Internet, souligne-t-on.
(AIP)
kkf/tm
« C’est à peu près six milliards de FCFA que nous perdons dans la pratique de ces jeux illicites », a estimé le directeur général adjoint qui faisait le point de la lutte contre les jeux illicites engagée par la LONACI.
Du 06 avril au 14 avril 2014, les plaintes portées par la LONACI auprès de la justice ont abouti à l’arrestation de plusieurs fraudeurs au nombre de 27 personnes dont 13 condamnés à des peines prison. Ils s’adonnaient à la pratique de jeux illicites notamment « Petits poteaux », une forme de pari mutuel urbain (PMU) et le loto ghanéen.
« Nous estimons à près de deux milliards de perte en ce qui concerne seulement le « Petits poteaux », a soutenu M. Coulibaly indiquant qu’à cela s’ajoutent les quatre milliards du loto ghanéen.
Il a indiqué que les enquêtes ont révélé que pour la seule zone de San Pédro, le préjudice subi est de 100.000FCFA par vendeurs et deux millions de F par jours, soit environ 750 millions par an.
« La lutte contre les jeux illicites engage toute la Côte d’Ivoire. Il s’agit d’affirmer ensemble le principe de la nécessité d’inscrire toute activité économique dans le cadre du respect de la loi », a souligné le directeur général adjoint qui a interpellé « tous ceux qui s’adonnent à ces jeux illicites ».
Selon lui, l’ambition de la LONACI est de faire toujours plus de social au profit des populations ivoiriennes. « Cela n’est possible que si l’entreprise continue sa croissance tirée par le succès des jeux qu’elle propose au grand public », a-t-il soutenu.
Plusieurs textes législatifs et réglementaires le monopole de la LONACI en matière de jeu de hasard et d’interdire les jeux illicites sous toutes ses formes sur le territoire national. Malheureusement, différentes formes de jeux illégaux sont répandues notamment « Petits poteaux », le loto ghanéen et les paris sportifs sur Internet, souligne-t-on.
(AIP)
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