Après avoir obtenu la levée de l'embargo de l'ONU sur le diamant exploité dans le pays, la Côte d'Ivoire souhaite désormais renforcer son système de traçabilité.
La levée de l'embargo sur le diamant ivoirien, votée à l'unanimité par le Conseil de sécurité de l'ONU, le 29 avril dernier, vient desserrer un peu l'étau enferrant depuis 2005 une filière qui représente entre 200 à 300 000 travailleurs (faisant essentiellement de l'extraction artisanale) en Côte d’Ivoire, d'après un document de l'Union européenne cité par l'AFP.
Opportunité
Cette décision représente également, assure-t-on du côté du gouvernement ivoirien, une opportunité de redresser le secteur. "Cette levée de l'embargo est le résultat d’un processus entamé fin septembre 2013 et elle... suite de l'article sur Jeune Afrique
La levée de l'embargo sur le diamant ivoirien, votée à l'unanimité par le Conseil de sécurité de l'ONU, le 29 avril dernier, vient desserrer un peu l'étau enferrant depuis 2005 une filière qui représente entre 200 à 300 000 travailleurs (faisant essentiellement de l'extraction artisanale) en Côte d’Ivoire, d'après un document de l'Union européenne cité par l'AFP.
Opportunité
Cette décision représente également, assure-t-on du côté du gouvernement ivoirien, une opportunité de redresser le secteur. "Cette levée de l'embargo est le résultat d’un processus entamé fin septembre 2013 et elle... suite de l'article sur Jeune Afrique