Abidjan - Le déficit budgétaire des pays membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), à l’exclusion du Niger, va connaître cette année une légère diminution en 2014 en dépit de la poursuite de la croissance de l’investissement, annonce le Fonds monétaire international (FMI) dans un récent rapport.
Selon le rapport sur les services du FMI concernant les politiques communes des Etats de l'UEMOA, « le déficit du Niger afficherait temporairement une hausse sensible par suite du financement par l'Etat d'un gros projet dans le secteur des hydrocarbures ».
L’institution prévoit la poursuite du rééquilibrage budgétaire dans les pays accusant un déficit plus élevé à l'image du Sénégal et du Togo. Quant à l'investissement public, il devrait s'accroître dans tous les pays tandis que le ratio dépenses courantes sur Produit intérieur brut (PIB) devrait baisser dans la plupart d'entre eux. Selon le rapport, le ratio de la dette publique pour l'UEMOA resterait stable à environ 39% du PIB.
L’institution de Bretton Woods estime que l'assouplissement de la politique monétaire était justifié au cours des deux dernières années étant donné l'évolution favorable de l'inflation et les perspectives encourageantes en la matière et compte tenu de l'incertitude entourant les perspectives de croissance.
« Maintenant que celle-ci est solidement ancrée, que le déficit des transactions courantes se creuse et que les réserves officielles sont en baisse, un temps d'arrêt de cet assouplissement semble de mise », poursuit le rapport du FMI sur les huit pays membres de l’UEMOA.
cmas
Selon le rapport sur les services du FMI concernant les politiques communes des Etats de l'UEMOA, « le déficit du Niger afficherait temporairement une hausse sensible par suite du financement par l'Etat d'un gros projet dans le secteur des hydrocarbures ».
L’institution prévoit la poursuite du rééquilibrage budgétaire dans les pays accusant un déficit plus élevé à l'image du Sénégal et du Togo. Quant à l'investissement public, il devrait s'accroître dans tous les pays tandis que le ratio dépenses courantes sur Produit intérieur brut (PIB) devrait baisser dans la plupart d'entre eux. Selon le rapport, le ratio de la dette publique pour l'UEMOA resterait stable à environ 39% du PIB.
L’institution de Bretton Woods estime que l'assouplissement de la politique monétaire était justifié au cours des deux dernières années étant donné l'évolution favorable de l'inflation et les perspectives encourageantes en la matière et compte tenu de l'incertitude entourant les perspectives de croissance.
« Maintenant que celle-ci est solidement ancrée, que le déficit des transactions courantes se creuse et que les réserves officielles sont en baisse, un temps d'arrêt de cet assouplissement semble de mise », poursuit le rapport du FMI sur les huit pays membres de l’UEMOA.
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