Côte D’Ivoire - Le ministre ivoirien des Mines Jean Claude Brou a réitéré mardi la détermination des autorités minières ivoiriennes à endiguer le phénomène de l’orpaillage illicite qui a cours dans plusieurs régions du pays.
Selon M. Brou, le gouvernement a adopté un plan de rationalisation de l’orpaillage dont l’objectif principal est d’assainir, organiser et encadrer l’activité.
"L’orpaillage est une activité qui est prévue par le Code minier ivoirien. Lorsqu’il est mené de manière légale et pratiquée dans les règles de l’art, il peut être source de revenus pour les populations. Cependant s’il est illégal et non autorisé, il est une nuisance extrêmement dangereuse pour le région et le pays tout entier", a-t-il noté.
L’autorité a ainsi dénoncé un orpaillage qui s’exerce de manière illicite et en dehors des règles du métier, avec l’utilisation de produits toxiques et polluants tels que le mercure et le cyanure.
Pour celui-ci, il est question de passer d’une activité d’exploitation minière clandestine, illégale et non maîtrisée, à une activité minière artisanale légale, autorisée et respectueuse des règles du métier.
La problématique de l’orpaillage illicite se pose avec acuité avec acuité avec l’existence de sites clandestins qui enregistrent parfois des drames suite aux éboulements ou aux conflits.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont recommandé que l’activité d’orpaillage soit "organisée et encadrée" pour être à terme "une activité formelle, légale, qui utilise les techniques internationalement acceptées et tenant compte des critères recommandés sur le plan social et environnemental".
Fin
Selon M. Brou, le gouvernement a adopté un plan de rationalisation de l’orpaillage dont l’objectif principal est d’assainir, organiser et encadrer l’activité.
"L’orpaillage est une activité qui est prévue par le Code minier ivoirien. Lorsqu’il est mené de manière légale et pratiquée dans les règles de l’art, il peut être source de revenus pour les populations. Cependant s’il est illégal et non autorisé, il est une nuisance extrêmement dangereuse pour le région et le pays tout entier", a-t-il noté.
L’autorité a ainsi dénoncé un orpaillage qui s’exerce de manière illicite et en dehors des règles du métier, avec l’utilisation de produits toxiques et polluants tels que le mercure et le cyanure.
Pour celui-ci, il est question de passer d’une activité d’exploitation minière clandestine, illégale et non maîtrisée, à une activité minière artisanale légale, autorisée et respectueuse des règles du métier.
La problématique de l’orpaillage illicite se pose avec acuité avec acuité avec l’existence de sites clandestins qui enregistrent parfois des drames suite aux éboulements ou aux conflits.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont recommandé que l’activité d’orpaillage soit "organisée et encadrée" pour être à terme "une activité formelle, légale, qui utilise les techniques internationalement acceptées et tenant compte des critères recommandés sur le plan social et environnemental".
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